Une fois dans sa vie, fût-ce pendant trois quart d'heure, tout le monde a été à l'avant-garde de quelqu'un.
La mort apprend à vivre aux gens incorrigibles.
L'Église catholique a fini par reconnaître l'indépendance de l'ordre spécifiquement spirituel et par vivre avec. On ne saurait demander moins à l'islam.
Celui qui connaît l'art de vivre avec soi-même ignore l'ennui.
Tout doit rentrer dans le creuset rénovateur où la mort verse continuellement de la matière pour la continuelle floraison de la vie.
Vivre c'est peu de chose, mais bien vivre et bien mourir, c'est beaucoup.
Une longue maladie semble être placée entre la vie et la mort, afin que la mort même devienne un soulagement et à ceux qui meurent et à ceux qui restent.
La mort est la seule liberté que connaisse l'esclave.
Je ne connais pas vraiment Hollywood, mais vivre à L.A. était très motivant et inspirant. Les lumières, les figurants, leurs visages américains, l'énergie, le Théâtre Orpheum. C'était très inspirant.
Je n'ai pas de plan de carrière. J'ai la chance de vivre une passion, d'en vivre mal, mais d'en vivre. En fin de compte, je suis une femme heureuse.