Une des choses que nous devons apprendre est que la souffrance est partie intégrante de la vie.
Le café doit être noir comme l'enfer, fort comme la mort et doux comme l'amour.
La pensée de la mort est une chose, mais son acceptation en est une autre, infiniment plus grave et déchirante.
Un être vivant ne s'adapte jamais à son milieu ou alors, en s'adaptant, il meurt. La lutte pour la vie est la lutte pour la non-adaptation.
Quand on défie la mort on ne gagne qu'en perdant définitivement.
Notre façon de vivre parle souvent beaucoup plus fort que nos paroles.
Ma femme est mon âme soeur. Je ne peux pas m'imaginer sans elle.
Par le téléphone ne passe que l'anodin ou le tragique, le bavardage indéfini ou la mort abrupte. Entre les deux, rien.
L'absence d'un mort nous inonde de sa présence, et nous le rend encore plus cher.
Celui qui veut garder les instants n'est-il pas toujours aussi celui qui ne sait pas les vivre ?