La vie n'est pas toujours un cadeau... mais il faut apprendre à l'apprécier.
La décision la plus importante que nous prenons est de savoir si nous croyons vivre dans un univers amical ou hostile.
Les têtes de mort ont toujours l'air de rigoler parce que les morts rient de s'être pris au sérieux de leur vivant.
Le bonheur se donne à celui qui a vaincu sa peur de vivre et qui considère sa vie comme une étincelle sacrée, dans la continuité des âges.
Le paradoxe des moments d'éternité qu'il nous arrive de vivre est qu'ils sont fugitifs.
C'est ça, la culture : c'est tout ce que l'homme a inventé pour rendre le monde vivable et la mort affrontable.
L'amour ne meurt jamais de mort naturelle. Il meurt parce que nous ne savons pas comment revenir au fondement de cet amour. Il meurt de la cécité, des erreurs et des trahisons. Il meurt de maladie et de blessures. Il meurt d'ennui et de flétrissement.
Toute vie fait partie d'une relation complexe dans laquelle chacun dépend des autres, prenant, donnant à et vivant avec tous les autres.
Du vivant de son père, observez les intentions d'un homme. Après la mort de son père, observez son comportement : si, pendant trois ans, il ne s'écarte pas de la voie que lui a tracée son père, on peut dire que c'est un bon fils.
La société... n'est plus que la guerre de mille intérêts mesquins opposés, une lutte éternelle de toutes les vanités qui, tour à tour blessées et humiliées les unes par les autres, s'entrecroisent, se heurtent et expient le lendemain triomphe de [...] ► Lire la suite