Lorsque nous passons le temps en faisant de la musique quelque chose dans le temps cesse de passer.
De New-York à TokyoTout est partout pareilOn prend le même métroVers les mêmes banlieuesTout le monde à la queue leu leuLes néons de la nuitRemplacent le soleilEt sur toutes les radiosOn danse le même discoLe jour est gris, la nuit est bleue.
La partition de l'Irak est inévitable, comme le montre l'histoire.
C'est un talent extraordinaire: raconter les histoires inédites de l'Histoire; dévoiler la sculpture qui attend au coeur d'un bloc de pierre; transformer les notes d'une partition en chanson; donner l'impression que les vaisseaux de Star Wars dans l'espace sont vraiment en train de voler.
La télé t'représente pas, eux non plus t'sentent pas.T'es dans c'bal comme un pourcentage qui danse la samba.
Que serait la Nouvelle-Orléans sans musique ? Et qu'est-ce que la musique sans la danse ?
Une danse est un poème.
Exactement vingt minutes après avoir rompu avec mon copain, j'ai succombé à la tentation de l'alcool, dansé sur la scène d'un bar et offert ma virginité à un connard narcissique. Heureusement, ce mufle fera comme si de rien n'était. Dieu merci.
La danse est l'expression perpendiculaire d'un désir horizontal.
Les différentes voix s'unissent dans la mélodie : l'une résonne gaie, vivante, sûre de la victoire, tandis que l'autre paraît encore se débattre dans les ténèbres au milieu d'un combat plein de mélancolie... c'est l'expression la plus nette et la plus parfaite de la vie intérieure.