Ordinairement, c'est le four qui fait la galette : au théâtre, c'est l'inverse.
L'Académie : quarante appelés et peu de lus.
On dit de moi que je suis théâtrale mais je clame haut et fort que je suis le théâtre, et que le théâtre c'est moi. Je suis un spectacle sans interruption.
Un artiste ne doit pas, à mon sens, faire ses adieux. Il doit mourir sur scène !
Je suis fier de la Russie. Et nous avons de quoi être fiers, mais nous n'avons aucune obsession d'être une superpuissance sur la scène internationale.
Le théâtre est cet espace où se mesure, plus que celle du metteur en scène ou de l'auteur, l'imbécillité du public.
Un homme qui joue toujours la comédie se fait parfois mal juger. On finit par ne plus le prendre au sérieux.
Je veux donner un peu de bonheur même si je n'ai pas eu grand chose pour moi. La musique a enrichi ma vie et, espérons-le, à travers moi un peu, le public. Si quelqu'un sortait d'un opéra plus heureux et en paix, j'ai atteint mon but.
Tout ce qu'il faut pour faire une comédie c'est un parc, un policier et une jolie fille.
Le métier de comédien te rend cinglé, ça ne peut être autrement.