La gastronomie est devenue mondiale et il est important que la cuisine française soit portée par des chefs.
Avant, je venais de l'école du " Oui, chef ! " où l'on reproduit. Aujourd'hui, je pense exprimer une certaine liberté, un chemin personnel.
Une bonne cuisine est l'engrais d'une conscience pure.
La vie n'est pas un restaurant mais un buffet. Levez-vous pour vous servir.
J'aime un poulet rôti bien rôti et des oeufs cuits de différentes façons, comme au plat ou brouillés. C'est réconfortant pour moi.
Mieux vaut se disputer autour d'une table que sur un champ de bataille.
Le plaisir, telle la vengeance, peut-être un plat qui se mange froid.
La soupe n'est pas assez chaude si le cuisinier ne s'y brûle pas le doigt.
En restaurant les olympiades, je n'ai pas regardé près de moi, mais très loin. j'ai voulu rendre au monde moderne, de façon durable, une institution antique dont le principe lui redevenait salutaire.
On met du beurre au fond du plat pour pas que le gratin colle.