Je le répète: c'est à l'école que se joue l'avenir de notre pays. Il faudra beaucoup de pédagogie pour vaincre les réticences et les conservatismes. Cela étant, comme partout ailleurs dans la société française, il suffirait de peu de chose pour faire naître la confiance et repartir de l'avant.
Je bazarde les enfants à l'école neuf jours sur dix. Je n'ai à les supporter que trois jours par mois à la maison ; ce n'est pas la mer à boire. On les fourre dans le salon et on appuie [...] ► Lire la suite
A l'école, y'a plein de trucs qui servent à rien. Exemple : "Racine carrée de 25 ? 5..." Oui, et alors, ça t'as déjà sorti d'une merde ?
La mixité généralisée de tous les espaces (jusqu'aux stades de football), mais surtout à l'école, anesthésie la virilité des petits hommes qui ont besoin de s'arracher à leur mère (...) Nous vivons dans une époque de mixité totalitaire, castratrice.
Ne demandez pas à l'école de vous donner des frissons, demandez-lui plutôt de vous étonner.
On nous le répète à l'école : "La vanité est le plat des sots." Mais les sages aussi condescendent à y goûter de temps en temps.
Et les enfants ? Ici, pas question de les inscrire à l'école, car il n'y a déjà pas assez de place pour les petits Marseillais.
Quand vous êtes petit, c'est Los Angeles qui vous apprend à rêver. Osez me dire que vous n'avez pas davantage appris en regardant des films qu'en allant à l'école. En regardant la télé qu'en écoutant vos parents. Et qu'est-ce qu'on apprend ? On apprend à croire aux contes de fées.
[A l'école ] On apprend à participer à un monde qui, aujourd'hui on le reconnaît, est totalement déviant. Donc il faut changer ça. Je pense qu'un des grands changements qu'on pourrait faire, c'est proposer des écoles alternatives : vous aurez dans 20 ans une génération très différente, altruiste, humaniste, écologiste.
Tout commence dès l'école. L'école nous apprend à participer à la compétition sociale, et on n'apprend pas ce qui se passe en nous. Or vous vivez toute une vie avec un parcours intérieur. L'alphabétisation ne va pas de pair avec la créativité, à l'école. C'est un drame, c'est la faute de Jules Ferry, ce bâtard.
- Doucement, Garcia. Je crois que tu viens d'offenser la mère de quelqu'un. - La ferme. J'ai pris français à l'école. Qu'est-ce que je peux dire ? - Pénélope, ton nom est Garcia. - Oui, je sais. C'est le nom de mon beau-père. Bon, tu veux mon génie ou pas ?
J'ai décidé de devenir acteur parce que j'ai échoué à l'école.
Vous, vous êtes et nous, nous sommesDes hommes pareilsPlus ou moins nus sous le soleilMêmes coeurs entre les mêmes épaulesQu'est-ce qu'on vous apprend à l'écoleSi on y oublie l'essentiel ?On partage le même royaumeOù vous, vous êtes et nous, nous sommes...
Pour chaque homme qui a réussi, il y en aura toujours un autre qui dira : "J'étais à l'école avec lui !"
Je n'étais pas mauvais à l'école, mais je n'ai jamais été un rat de bibliothèque.
Le milieu familial peut défaire beaucoup de ce qu'on essaie de faire à l'école.
Quand je suis arrivé à l'université, être acteur a soudainement semblé être une proposition très risquée et tous mes amis allaient à l'école de droit, à l'école de médecine ou à Wall Street.
À l'école, la jolie fille, ce n'était jamais moi.
Quand j'étais petite, je rêvais d'aller à l'école d'art dramatique, mais je ne pensais pas que cela m'arriverait. J'étais une fille juive du nord de Londres et cela ne se produit pas pour les filles juives du nord de Londres appelées Amy Winehouse.
J'étais mauvaise à l'école.
Je n'ai pas d'espoir dans la révolution. Je n'ai pas envie qu'on restructure tout [...] Je n'ai pas été à l'école, l'ascenseur social a fonctionné. Je n'ai pas le génie des gens de gauche qui disent que c'est le collectif..
Les fables de Jean de La Fontaine qu'on aimait parce que dedans il y avait des animaux intelligents qui parlaient le français sans faire de fautes de grammaire ou d'orthographe, comme s'ils étaient allés à l'école.
Les droits que nous voulons:Nous voulons choisir notre mariNous voulons être propriétaire de nos terresNous voulons aller à l'écoleNous ne voulons plus être exciséesNous voulons prendre nos propres décisionsNous voulons être respectées dans le monde de la politique, et en tant que chefs de file.
Quand je fais mes courses avec mon caddy, je ne mets pas de lunettes de soleil. Je vais au travail, comme tout le monde. J'emmène mes enfants à l'école, comme tout le monde. Je mange des trucs comme tout le monde. Et je me dispute avec ma femme, comme tout le monde!
Les choses qui m'ont causé des problèmes à l'école sont les mêmes choses qui m'ont aidé à réussir dans le monde.
Je bazarde les enfants à l'école neuf jours sur dix. Je n'ai à les supporter que trois jours par mois à la maison; ce n'est pas la mer à boire. On les fourre dans le salon et on appuie sur le bouton.
Ce que nous appelons épreuves n'est qu'une suite de problèmes que nous avons à résoudre tout au long de notre existence, exactement comme en ont à résoudre les enfants à l'école.
Je lis régulièrement des trucs aberrants sur nous, par exemple que Marion habite à Los Angeles... Les gens n'imaginent pas que l'on vit comme tout le monde, qu'on fait nos courses, qu'on cuisine, qu'on emmène notre fils à l'école.
Secrètement, mon Maître et mes parents s'étaient donné un an pour me préparer à l'examen d'entrée à l'école de danse de l'Opéra. Une série d'épreuves m'attendaient, dont je n'imaginais pas la difficulté...
J'ai toujours été fasciné par la création, jamais par la destruction. C'est ce que j'aime dans l'histoire, la création. L'histoire me fascine. C'est le contraire de l'ignorance, c'est le contraire de la bêtise. Je ne l'ai pas apprise à l'école, mais je l'ai respirée plus tard...