À l'encontre des Cassandre qui annoncent la fin de la croissance, l'économie mondiale se situe à la veille d'un cycle comparable à la Renaissance.
Abstenez-vous de désirer ce que vous n'avez pas, et vous ruinerez l'économie.
Mes trois priorités pour Paris sont : - Relancer l'économie, - Prendre soin de chacun, à tout âge,- Faire de Paris le modèle de l'urbanisme durable.
L'économie est l'art de tirer le meilleur parti de la vie.
L'économie ne sait même pas prévoir d'imminents désastres dans sa propre sphère.
L'économie regorge de trucs qui vous donne le goût de reculer loin loin loin, de courir comme un dément et de vous planter la tête la première dans le mur qui vous attend flegmatiquement.
Il n'y a pas de source de profits aussi sûre que l'économie.
Le monde de l'économie est frappé par le syndrome du "Sumo is beautiful". On pense que pour être le plus fort, il faut être le plus gros. Mais les sumotoris les plus gros, ce sont eux aussi qui meurent le plus jeune.
L'Économie souterraine rime toujours avec terrorisme et crimes, le point d'action doit se centraliser sur ces axes.
C'est la cohorte des fourmis qui, dans les galeries souterraines des bas-fonds de la société, permet à l'économie d'avancer.
Nous sommes sur un terrain dangereux lorsque le gouvernement choisit les gagnants et les perdants dans l'économie en subventionnant les produits et les industries favorisés.
L'économie elle-même mourra si nos écosystèmes s'effondrent.
Les déficits risquent de faire stagner l'économie, voire pire.
Sortie de la religion ne signifie pas sortie de la croyance religieuse, mais sortie d'un monde où la religion est structurante, où elle commande la forme politique des sociétés et où elle définit l'économie du lien social.
L'espérance ne compte pas pour rien dans le fonctionnement de l'économie.
Afin de se maintenir, l'économie est en permanence obligée de créer et de répandre davantage de technologie. C'est comme si l'enfant à naître dévorait sa mère dans le ventre de celle-ci.
L'économie c'est la science du sordide, non de la pureté.
La libération ne peut résulter que d'une technique. Elle ne peut être obtenue que par des acteurs sociaux dont elle est le but conscient. Il n'y a pas moyen de faire l'économie de la volonté politique.
Ce n'est pas assez d'avoir de grandes qualités ; il en faut avoir l'économie.
Il est indispensable pour une société de consommation que ses membres soient cupides, ostentatoires, gloutons, envieux, gaspilleurs, égoïstes et inhumains. Nous sommes officiellement professeurs de moralité mais si nous devenions tous "bons" l'économie s'effondrerait.
Je suis heureux qu'Arnaud Montebourg ait reconnu publiquement l'apport de LVMH à la France. D'ailleurs, Arnaud Montebourg est un soutien de l'économie et, sur bien des domaines, il a l'appui des chefs d'entreprises.
La conviction de l'exigence d'autonomie de l'économie, qui ne doit pas tolérer "d'influences" de caractère moral, a conduit l'homme à abuser de l'instrument économique y compris de façon destructive.
Nous le peuple français, depuis toujours nous voulons l'économie libre. Nous pensons même, pour la majorité d'entre nous, que si nous fichions la paix à l'entreprise, les choses iraient mieux.
Si nous raisonnons en fonction de ce que les grands bourgeois sont prêts à nous laisser, nous ne pourrons jamais nous en sortir. Nous faisons tourner l'économie, il nous faut exiger notre dû et ce qu'il nous faut pour vivre !
Montchrestien a inventé le terme, promis à un grand avenir, d'économie politique : "On ne saurait diviser l'économie de la politique, sans démembrer la partie principale du tout".
Le moteur de l'économie c'est la Guerre. Donc le problème de l'économie de nos jours n'est pas que Nicolas est trop nerveux, mais que les Allemands sont devenus trop gentils.
En Amérique, la première chose dont nous devons nous débarrasser, ce sont les droits des riches, et en même temps, ouvrir l'économie aux défavorisés.
L'économie politique n'a pas, dans tout son vocabulaire, un mot qui ait autant excité la fureur des réformateurs modernes que le mot Concurrence, auquel, pour le rendre plus odieux, ils ne manquent jamais d'accoler l'épithète : anarchique.
L'économie au sens le plus large du terme comprend également la théorie de l'organisation de la vie. C'est la science pratique en totalité. Tout ce qui est pratique est économique.
Nous sommes là pour soigner des gens, pas l'économie.
Je persiste à croire et à dire que la Chambre, ou si l'on veut la bourgeoisie, ne trompe pas le peuple ; elle se trompe elle-même. La Chambre ne sait pas l'économie politique, voilà tout.
Si les gens enseignent l'économie, ils doivent enseigner toutes les différentes disciplines, toutes les différentes écoles d'économie. Ils ne peuvent pas simplement en enseigner un parce que la personne n'est pas équipée pour faire face à la profession économique.
Qu'est-ce que cela veut dire le « patriotisme économique » ? Cela veut dire que, face à un coup qui a été porté à l'économie mondiale et à la population, nous devons réagir avec responsabilité, sérénité et dignité - et donc, volonté.