Citations Le suicide

Une détresse trop grande peut conduire au suicide, même si le suicide n'est au fond réellement qu'un appel au secours, entendu trop tard...

Le suicide ! Mais c'est la force de ceux qui n'en ont plus, c'est l'espoir de ceux qui ne croient plus, c'est le sublime courage des vaincus.

Le suicide, ce n'est pas vouloir mourir, c'est vouloir disparaître.

Si vous êtes déprimé, appelez quelqu'un. Et rappelez-vous, le suicide est une solution permanente à un problème temporaire.

Il n'y a qu'un problème philosophique vraiment sérieux : c'est le suicide. Juger que la vie vaut ou ne vaut pas la peine d'être vécue, c'est répondre à la question fondamentale de la philosophie.

Le suicide est le dernier acte par lequel un homme puisse montrer qu'il a dominé sa vie.

Le suicide, c'est l'ultime expression de la liberté. De savoir que l'on peut choisir sa mort, ça aide à vivre.

Le stoïcisme, religion qui n'a qu'un sacrement : le suicide !

Si le suicide ne règle pas toujours son propre problème, il règle malheureusement - souvent, en tous cas - celui des autres...

Le désespoir et le suicide sont le résultat de certaines situations fatales pour qui n'a pas foi dans l'immortalité, dans ses peines et dans ses joies.

Ce n'est pas que le suicide soit toujours de la folie. Mais en général, ce n'est pas dans un accès de raison que l'on se tue.

Le suicide est l'effet d'un sentiment que nous nommerons l'estime de soi-même, pour ne pas le confondre avec le mot honneur.

Le suicide, cette mystérieuse voie de fait sur l'inconnu.

Le suicide aussi est un poème, en un certain sens. Il paraît même que c'est une oeuvre d'art...

Le désespoir est le suicide du coeur.

Rêver, c'est le suicide que se permettent les gens bien élevés.

Le suicide, c'est le seul acte philosophique. S'il ne porte pas ses fruits, il devient quelque chose de ridicule qui vous éclabousse.

Le suicide n'est pas une fin en soi. C'est la fin de soi !

La sagesse du futur, celle qui évitera le suicide de l'humanité, ne consistera plus à gagner du temps mais à le remplir, à le vivre, à en prendre toute la mesure.

Le seul vrai problème philosophique ce n'est pas le suicide, c'est de savoir pourquoi on ne peut pas se suicider.

Je considère le suicide comme une lâcheté : c'est un duel avec un adversaire désarmé.

Le suicide. Une vendetta contre le coeur et ses lâchetés, une sorte de massacre de la Saint-Valentin.

Le suicide est la seule preuve de la liberté de l'homme.

Le suicide n'est qu'une sortie de secours.

Le suicide n'alimente pas l'orgueil : c'est là son seul défaut.

Le suicide n'est pas un acte. On est saisi par le suicide comme par un vertige, on subit le suicide.

Le dandysme, forme moderne de stoïcisme, est finalement une religion dont le seul sacrement est le suicide.

La civilisation mécanique vient de parvenir à son dernier degré de sauvagerie. Il va falloir choisir, dans un avenir plus ou moins proche, entre le suicide collectif ou l'utilisation intelligente des conquêtes scientifiques.

Le suicide, c'est une vengeance personnelle, et moi, personnellement, je ne m'en veux pas.

Le suicide, c'est un acte de ceux qui n'ont pu en accomplir d'autres.

C'est moins définitif que le suicide de se saouler la gueule, mais ça revient au même.

Le suicide, c'est épouser la solitude et vivre avec elle... in... fi... ni... ment !

A force de limiter la vitesse, il n'y aura bientôt plus aucun pare-brise disponible pour le suicide des moustiques dépressifs.

Le suicide est un crime religieux et social.

Le suicide, la seule façon de baiser la mort.

Le suicide n'a d'avantages que s'il ennuie les autres. Pour le reste, il est vide de sens commun.

Le suicide c'est la ressource des hommes dont le ressort a été rongé par la rouille.

Le modèle actuel est le suicide global. Nous avons besoin d'une révolution. La pensée révolutionnaire. Action révolutionnaire. Les ressources naturelles sont de plus en plus rares.

Le suicide n'est pas abominable parce que Dieu l'interdit; Dieu l'interdit parce qu'il est abominable.

Comme Hamlet, je dois choisir entre le suicide et la mort.

La vertu se meurt, l'espérance est morte. et ceux qui souffre n'ont plus qu'un refuge : le suicide.

Le suicide est un assassinat, car celui qui se tue, tue un homme - et c'est un crime.

Beaucoup plus facile d'admettre le suicide de quelques-uns que l'obstination de la majorité à vivre.

Le suicide de l'âme, c'est de penser mal.

C'est un crime contre l'Etat, le suicide. Un suicidé, c'est un soldat de moins, un contribuable de moins.

Le suicide est l'acte désespéré d'un être qui ne fait plus confiance ni aux médecins, ni à la guerre, ni aux transports, ni à la nature.

Le suicide est une folie, mais la plus criminelle, une folie du coeur.

Le suicide est la plus grande des négations.

Le suicide est le doute allant chercher le vrai.

Le suicide est une mort qu'on ne donne pas à l'ennemi !