La jalousie naît toujours avec l'amour, mais ne meurt pas toujours avec.
Qui est habile de ses mains ne meurt jamais de faim.
On meurt en détail.
Et meure Pâris ou Hélène,Quiconque meurt, meurt à douleur.Celui qui perd vent et haleine,Son fiel se crève sur son coeur.
Les vies n'ont pas de sens. Quelqu'un vit, puis meurt, et ce qui se passe entre les deux n'a pas de sens.
En fait, l'espoir est une condition de survie. Une condition de survie de l'espèce humaine. Sans espoir, on meurt.
Le vrai bonheur est un état terne, et sans valeur. Quand nous le goûtons sciemment, il passe et meurt : le jeu des saisons.
On meurt très rarement d'avoir perdu quelqu'un. Je crois qu'on meurt plus souvent de quelqu'un qu'on n'a pas eu.
La vie, c'est un peu comme une pièce de théâtre, dont nous serions les acteurs... et les autres, le public. Mais à la fin, on ne vient pas saluer. On meurt sur scène comme Molière.
La beauté on sait que ça meurt, et comme ça on sait que ça existe.
Quand on représente une cause (presque) perdue, il faut sonner de la trompette, sauter sur son cheval et tenter la dernière sortie, faute de quoi l'on meurt de vieillesse triste au fond de la forteresse oubliée que personne n'assiège plus car la vie s'en est allée ailleurs.
Notre âme ne peut pas mourir, la liberté ne meurt jamais.
De quoi meurt cet enfant ? Dût la réponse troubler, il meurt aussi de nos silences.
Le léopard meurt avec ses tâches, et je ne me suis jamais proposé, ni ne me suis cru capable de m'améliorer.
On ne se repose bien et on meurt content que là où l'on a vécu heureux.
Avec la mort d'un homme meurt toute la grâce humaine.
L'amour naît d'un regard, vit d'un baiser et meurt d'une larme.
Il faut faire mourir l'orgueil sans le blesser. Car si on le blesse, il ne meurt pas.
Il faudrait être sot pour croire que l'on meurt à cause d'une déficience qui nous est personnelle, ce sont les autres qui nous tuent par leur entêtement à vivre...
Si le symbole meurt, le sentiment reste.
Un être vivant ne s'adapte jamais à son milieu ou alors, en s'adaptant, il meurt. La lutte pour la vie est la lutte pour la non-adaptation.
Le couple meurt lorsque l'enfant paraît.
Une civilisation meurt quand elle recule sur ses principes et ses valeurs, et quand ceux qui les remettent en question avancent.
Il ne faut jamais dire que l'espoir est mort. Ça ne meurt pas, l'espoir.
Le mâle qui meurt sert l'espèce, en laissant à d'autres le soin de la propager.
Une croûte de pain, ce n'est pas grand-chose, et c'est tout, cependant, pour le vagabond qui meurt de faim.
Même quand on ne fait qu'y vivre, il n'arrive jamais rien d'autre avec la nuit que ce qui meurt en soi.
La mort est toujours la même, et chacun, pourtant, meurt de sa propre mort.
Il est certain, que quoi qu'on fasse, on est toujours le fantoche de quelqu'un. C'est un malheur dont on ne meurt pas.
La vertu se meurt, l'espérance est morte. et ceux qui souffre n'ont plus qu'un refuge : le suicide.
Celui qui reste chaste et meurt d'amour meurt martyr.
Le ciel est un songe innocent,Qui meurt des clartés qu'il s'ajoute,Quand le soleil jaunit la route,Dont il est le dernier passant.
Qui laisse derrière lui une bonne réputation ne meurt pas pauvre.
La gloire est comme ces navires où l'on ne meurt pas seulement à ciel ouvert mais aussi dans l'obscurité pathétique des cales.
N'aie crainte ! Le corps meurt, mais quelque chose reste. Il nous faut espérer. Dieu n'est pas un vain mot.
C'est toujours très curieux ce qui se passe quand on se meurt d'amour et qu'on n'a personne pour se jeter dedans, follement.
On ne meurt jamais, on ne fait que changer de nature comme on change de culottes et la fin d'un être est toujours le commencement d'une nouvelle forme de vie.
Il n'y a que d'immortels principes, puisque, du jour où un principe meurt, on s'aperçoit que ce n'était qu'un paradoxe.
Si Chuck Norris se prend une balle, c'est la balle qui meurt.
L'avare ne fait de bien que quand il meurt.
Si tu attrapes un beau bonheur, un papillon rare, sans l'abîmer, si tu le prends dans ta paume et que tu la refermes pour l'emprisonner, il ne reste que de la poussière de bonheur sur les doigts, si tu le piques sur un bois il meurt.
Il y a toujours une raison de vivre pour laquelle on meurt à petit feu. C'est même le seul but logique dans le monde que de mourir pour ce qu'on a vécu. C'est ça, le mérite des hommes.
Vois-tu, on ne meurt jamais entièrement, parce qu'on transmet aux autres, aux survivants, surtout à ceux qui vous aiment et vous connaissent bien, un peu de son être.
On ne meurt pas d'un trou à son pantalon, sauf si l'on est scaphandrier.
On ne peut rien contre un mot ; c'est une mouche qu'on peut chasser, qui peut partir, mais qui revient toujours, ne meurt jamais.
La vie, c'est la croissance. Le business, c'est la croissance. On croît ou on meurt.
Celui qui tue par le plomb, meurt par le plomb.
L'homme qu'on transplante vit, l'arbre qu'on transplante meurt.
C'est vrai, Dieu meurt de froid. Il frappe à toutes les portes, mais qui ouvre jamais ? La place est prise. Par qui ? Par nous-mêmes.
Si mon corps meurt, laissez mon corps mourir, mais ne laissez pas mon pays mourir.