Citation de Jean Prieur sur Vie, Espoir et Tant

La retraite ? Je ne suis absolument pas pressée ! J'ai un futur sympathique jusqu'au jour où je serai mangée par mon boa, comme dans ma chanson, et que la vie s'arrêtera !

La vie idéale est celle où Dieu nous veut, individuellement, nous veut moine, aventurier, cordonnier ou assureur.

Un bonheur ne peut pas être complet tant que la peine n'y entre pas pour quelque chose.

La vie tue l'amour à petits coups.

On ne peut ressentir la douceur de cette vie sans en même temps concevoir une colère absolue contre le mal qui la serre de toutes parts.

Je n'ai pas vu autant d'hommes vêtus de vêtements féminins depuis mon enterrement de vie de garçon.

La vie n'est pas raffinée. La vie ne se prend pas avec des gants.

Ce que tu donnes est à toi pour toujours. Ce que tu gardes est perdu à jamais.

La vie est un sommeil et la mort est le temps du réveil, et l'homme marche entre l'un et l'autre comme un fantôme.

Ce qui fait la beauté de la vie, c'est sa vérité, elle existe. Et vivre, c'est suivre la vie avec sa vérité d'aimer.

La vie a une manière amusante de vous aider quand vous pensez que tout est fichu.

Il y a un moment dans la vie où l'on se retrouve à la croisée des chemins. Les choix qu'on fait à ce moment là peuvent déterminer tout le restant de notre vie. Bien sûr face à l'inconnu, la plupart d'entre nous préfèrent faire demi-tour.

Garde toi, tant que tu vivras, de juger les gens sur la mine.

Sacrilège, la vie l'est par définition.

Pour s'interdire tout espoir de fuite, ils formèrent une barrière continue sur tout l'arrière du front avec les chariots. Ils y firent monter leurs femmes, qui tenant leurs mains ouvertes et versant des larmes, suppliaient ceux qui partaient au combat de ne pas faire d'elles des esclaves des romains.

Le rêve est une hypothèse, puisque nous ne le connaissons jamais que par le souvenir, mais ce souvenir est nécessairement une fabrication.

Une forte vie intérieure se suffit à elle-même et ferait fondre vingt années de banquise.

Pour vivre, nous avons besoin de nous appuyer sur un certain nombre de croyances : elles sont comme des supports pour notre vie affective et intellectuelle.

Je ne considère pas du tout la maternité comme l'apogée de la vie d'une femme.

L'être stoïque sait que la vie moderne n'est qu'une série de moments pendant lesquels on attend de passer à la caisse.

Ma vie est une longue courbe, pleine de tournants.

La vie est un procès judiciaire : peu importe qui on est et ce qu'on fait, on perd toujours.

Je m'endormis, et à mon réveil trouvais que ma difficulté avait beaucoup perdu de sa violence.

Là où la vie n'avait aucune valeur, la mort avait parfois son prix. C'est pourquoi les tueurs de primes sont apparus.

Je vivais à deux cents à l'heure ma vie que je voulais romanesque. Impossible pourtant aujourd'hui de mettre de l'ordre dans ma mémoire mille éclairs mille nuits toutes pareilles pourtant mille petits matins avec le même chagrin, les bouts de bonheur. Les mêmes odeurs. C'est important les odeurs pour la mémoire. C'est l'habit du visible.

L'acceptation d'une existence qui comporte des épreuves et des défis est la base d'une vie saine, favorable au bien-être et à la paix d'esprit.

S'il y a tant de femmes qui tournent mal, c'est qu'on ne leur a pas appris à être seules.

J'ai passé toute ma vie à "essayer".

Dans la vie on ne fait pas ce que l'on veut mais on est responsable de ce que l'on est.

Quand on lit le récit d'une vie "exemplaire" comme celle de Balzac, on arrive toujours au récit de la mort. A quoi bon ?