Citation d'Alice Taglioni sur Mon, Peu et Suis

Je ne juge pas mes personnages, et c'est mon travail de ne pas les juger. C'est mon travail de les traiter avec respect et de les regarder de leur point de vue.

Mon frère me taquine toujours au sujet de mon front...

Je suis un peu accro au travail. Donc, je me cache toujours dans la salle de bain avec mon Blackberry pour travailler quand je suis en vacances.

Visiter mon esprit, c'est comme visiter une usine Hermès. Vous n'y trouverez aucune fissure.

J'ai toujours cru que mon silence sur plusieurs sujets constituerait un avantage à long terme.

J'ai jeté un coup d'oeil dans le miroir et j'ai réalisé à quel point j'avais l'air quelconque.
Le lendemain je suis allée sur King's Road pour acheter tout le nécessaire, mascara et rouge à lèvres, même si je n'aime pas le [...] ► Lire la suite

Où la science s'arrêtera-t-elle, mon Dieu ! Et même, s'arrêtera-t-elle jamais !

J'ai besoin de filles avec du feu dans mon équipe.

La peinture est le miroir immuable de tout ce que l'Univers nous offre de plus beau.

Le matin, c'est la plus belle image du monde... On devrait l'encadrer !

C'est une sensation très étrange, pour quelqu'un dans mon genre d'écrire un journal. Non seulement je n'ai jamais écrit mais il me semble que plus tard, ni moi ni personne ne s'intéressera aux confidences d'une écolière de treize ans.

Quand j'ai eu une vingtaine d'années, j'ai commencé à en écrire [des chansons]. A l'époque, les femmes étaient seulement des interprètes, à l'exception de Nicole Louvier. Quand je l'ai entendue à la radio, jeune femme d'à peu près mon âge [...] ► Lire la suite

La courbe de tes yeux fait le tour de mon coeur.

J'ai travaillé toute ma vie avec les plus grands metteurs en scène. Aujourd'hui j'ai envie de travailler avec des jeunes. Je n'ai plus envie de travailler avec des gens de mon âge, ça m'emmerde. Je préfère travailler avec un jeune metteur en scène, même s'il est plein de maladresses.

Je suis cruelle à mon égard, c'est une base de départ.

Cher Journal, un écureuil m'a demandé mon nom ce matin. J'ai dit que c'était Joe. Ce mensonge me hantera à jamais.

Amour de mes nuits j'adore tes caresses.
Ton tact si divin me donne des frissons
Et tes fines lèvres au gout de calissons
Communique à mon corps ton infinie tendresse.

Cette force que l'on appelle le rêve ; reflet dans le miroir des symboles du vrai visage de son moi.

Une notation de Kafka dans son journal peut résumer mon état d'esprit d'alors : "Mon amour de toi ne s'aime pas". Je ne m'aimais pas de t'aimer

Les dimanches où le bon Dieu est gentil, je n'entends aucune musique ; je vous en fais toutes mes excuses... Enfin, veuillez vous en tenir au mot « Impressions », auquel je tiens pour ce qu'il me laisse la liberté de garder mon émotion de toute esthétique parasite.

J'étais toujours trop mature pour mon âge - et pas très heureuse. Je n'avais pas de jeunes amis. J'aimerais pouvoir revenir à ces jours. Si je ne pouvais que vivre encore, comment je jouerais et apprécierais les autres filles. Quel imbécile j'étais.

Ma maison est mon lieu de travail et je travaille partout.

Ma soirée serait avec mon mari, partout où il choisirait de m'emmener.

Karl Marx et Lénine en particulier ont beaucoup influencé mes actions et mes idées révolutionnaires car j'étais convaincu que leur philosophie pouvait résoudre des problèmes. Mais je pense que de tous les ouvrages que j'ai étudié, le livre qui m'a [...] ► Lire la suite

Je me repose, mais mon coeur veille.

Je suis méditerranéenne. Mon père était corse et ma mère bordelaise. Les femmes de Bordeaux étaient habillées de noir et les femmes corses aussi. Quand il a fallu que je trouve quelque chose pour mettre sur mon dos, j'ai acheté un pantalon noir et un chandail noir.

L'homme est le seul animal capable de donner délibérément, mais il ne s'est jamais affranchi des réflexes du chien qui ronge et enterre son os. Pour qu'il accepte de lâcher l'os qu'il tient, il faut qu'on lui en offre un plus gros en échange.

Dans mon adolescence, je n'ai jamais fait partie de la cool team.

Je savais quel était mon travail; C'était rencontrer les gens et les aimer.

Je suis tombé amoureux comme on attrape une maladie. Sans le vouloir, sans y croire, contre mon gré et sans pouvoir m'en défendre.