Citation de Bill Gates sur Autres, Pouvoir et Donner

[...] Je vais faire le portrait de Brooke !

Le proviseur a largement parlé de tout ce qu'Erika Marsh a fait pour notre lycée. Je pourrais dresser la même liste pour Brooke, mais mon discours serait vraiment trop court... [pause] On [...] ► Lire la suite

L'art du pédagogue est comme l'art de l'ingénieur. L'inspiration, le génie pédagogique, l'intuition et autres vertus exaltées ne sont jamais interdits. Ils sont même, probablement, toujours nécessaires. Ils ne sont jamais suffisants.

Le sexe est une des neuf raisons qui plaident en faveur de la réincarnation. Les huit autres sont sans importance.

Le verbe aimer est difficile à conjuguer. Son passé n'est pas simple, son présent n'est qu'indicatif et son futur toujours conditionnel.

Par une étrange contradiction, la première chose qu'on fait, quand on crée une Société Anonyme, c'est de lui chercher un nom. Mais par une singulière fatalité, on ne lui trouve le plus souvent que des initiales.

Obligez, sans espoir d'aucune récompense : un bien fait n'est jamais perdu ; tôt ou tard il vous est rendu, et souvent dans le temps que le moins on y pense.

Pourquoi le développement, après quatre siècles, est-il encore resté aussi limité dans son aire géographique ? Pourquoi est-il si souvent mal assuré, là où il s'est implanté ? C'est qu'on a cru pouvoir faire faire l'éconmie du facteur immatériel, et [...] ► Lire la suite

Il est temps de comprendre que la véritable spiritualité, c'est d'arriver à être vous-même l'expression vivante de l'Enseignement divin que vous suivez.

Notre temps vaut ce qu'il vaut ; il n'est ni meilleur ni pire que les temps passés ; il serait plutôt plus avantageux pour nous puisque c'est celui que nous vivons.

Le comble de l'altruisme, c'est de laisser les autres s'occuper d'autrui.

Le savoir est une couronne sur la tête, tandis que la richesse n'est qu'un joug sur le cou.

Plus l'État est grand, plus son patriotisme est mauvais et cruel, et plus grande est la somme de souffrances sur laquelle son pouvoir est fondé.

Le temps n'attend pas, la bonté est impuissante, la fortune inconstante et la méchanceté insatiable.

La seule chose que la politesse peut nous faire perdre c'est, de temps en temps, un siège dans un autobus bondé.

Les professeurs sont des gens qui apprennent aux autres les mots qu'eux-mêmes ont trouvés dans les livres.

En effet, que sont nos contemporains, sinon la conséquence d'une façon de comprendre et d'aimer de quelqu'un déjà perdu dans la nuit des temps ?

Dans un temps d'obscurité, vous ne maudissez pas l'obscurité, vous allumez une bougie.

Une strip-teaseuse prouve que si les femmes n'ont jamais rien à se mettre, il leur faut toujours du temps pour l'enlever.

Du temps qu'on l'aimait, lasse d'elle-même,
Elle avait juré d'être cet amour,
Elle en fut le charme et lui le poème,
La terre est légère aux serments d'un jour.

Je ne sais pas qui je suis. Alors, comment suis-je censé savoir ce que je veux ?

Le football. Étrange ballet tissé par les obscurs désirs du sexe masculin.

L'homme souffre davantage du bonheur des autres que de son propre malheur.

La promesse donnée était une nécessité du passé : la parole rompue est une nécessité du présent.

Il est bien assez temps de penser à l'avenir quand il n'y a plus d'avenir.

Dans le quart-monde se posent davantage les problèmes du savoir que les problèmes économiques. C'est pourquoi il faut avoir une activité de dispensateur, de message, d'ange.

J'ai souffert de me sacrifier politiquement pour sauver mon pays de la ruine et de la disgrâce et si je ne suis jamais élu, j'aurai la satisfaction de savoir que j'ai fait mon devoir.

Il y a un investissement qui est supérieur à tous les autres : investissez en vous-même.

- Boris.

- Hein ?

- Boris.

- Si tu m'appelle Boris encore une fois, j'te fait un deuxième trou du cul !

- « Boris » veut dire bonjour en norvégien, je m'appelle Peggy Mathilassi et j'ai été envoyée pour vous aider à [...] ► Lire la suite

On parle beaucoup trop aux enfants du passé et pas assez de l'avenir - c'est-à-dire trop des autres et pas assez d'eux-mêmes.

Il y a des gens chez lesquels la simple certitude de pouvoir les satisfaire fait naître des besoins spontanés.