Citation de Dicton français sur Juin, Peu et Fort

- Je suis née en voyage, on m'a trouvé dans le train Baltimo-Oayo, enveloppée dans un journal, j'avais 3 jours, j'ai grandi dans des familles d'accueil, je me suis inventée des parents imaginaires. Quand j'avais 5 ans pendant une année [...] ► Lire la suite

Fort est qui abat, plus fort est qui se relève.

Habit chaud et bonne nourriture, rendent bon chaque mois d'hiver.

Le plus fort d'entre tous est celui-ci qui se soumet à lui-même.

La prière est la plus douce consolation du malheureux ; il devient plus fort quand il a rempli ce devoir.

Certains chômeurs réclament un treizième mois de chômage !

Le plus fort est celui qui dompte ses passions.

Les années ne passent pas chaque année mais tous les dix à quinze ans. Pendant une dizaine ou une quinzaine d'années, on a l'impression d'avoir le même âge ; puis brusquement on vieillit d'un seul coup.

Les jeunes filles sont toujours fort curieuses d'apprendre ce que leurs mamans ont voulu ne pas ignorer.

Une femme peut fort bien porter une robe de bal sans savoir danser, une robe de cocktail sans avoir soif, un maillot de bains sans savoir nager, mais si elle met une robe de mariée, elle sait tout de suite s'en servir.

Une femme peut fort bien aimer deux hommes à la fois. On dirait que, toutes petites, elles ont appris à loucher du coeur.

Le désir qui naît de la joie est plus fort que le désir qui naît de la tristesse.

Il venait de se passer tant de choses bizarres, qu'elle en arrivait à penser que fort peu de choses étaient vraiment impossibles.

Le vent souffle où il veut, mais il faut être prêt.

L'assoiffé qui ne rencontre nulle source est assurément fort aise de trouver une flaque d'eau.

Un peuple conscient ne saurait confier la défense de sa patrie à un groupe d'hommes quelles que soient leurs compétences.

Les faux amis sont pareils aux feuilles des arbres, ils tombent au vent de l'adversité comme les feuilles au souffle de l'hiver.

Arc-en-ciel vers la nuit, pluie ou vent pour minuit.

Un philosophe est donc quelqu'un qui reconnaît comprendre fort peu de chose et qui en souffre.

J'aime les gens qui savent écouter le vent sur leur propre peau, sentir l'odeur des choses, en capturer l'âme. Ceux dont la chair est en contact avec la chair du monde. Parce que là est la vérité, là est la douceur, là est la sensibilité, la est encore l'amour.

Il vaut mieux dix ans glaner Qu'une seule année moissonner.

Ceux qui ont inventé le bateau à vapeur. Que savent-ils du vent qui gonfle les voiles ?

Dans la France du XVIIIème siècle, l'ambition n'est permise qu'à fort peu de monde. C'est un privilège de nanti. La lutte pour la survie, qui est le lot de la majorité, interdit la dispersion des efforts.

J'aime la simplicité qui accompagne l'humilité. J'aime les gens qui savent sentir le vent sur leurs propres peaux, sentir les arômes des choses, en capturer l'âme. Ceux qui ont la chair en contact avec la chair du monde. Car là, [...] ► Lire la suite

Barbot possédait, à défaut d'une grande voix, un grand talent. Il faisait fort bien le trille et ne consentit à jouer le rôle qu'à la condition de pouvoir, une fois au moins dans la soirée, perler un trille en toute [...] ► Lire la suite

La fête du 14 juillet est l'occasion de célébrer l'unité et la diversité qui font la richesse de la France.

Si ce Dieu juste et bon N'envoie ses oraisons Qu'à des tueurs, Doit-on penser qu'alors L'oraison du plus fort Est toujours la meilleure ?

Le progrès est un piège à souris, plus grand, plus efficace chaque mois : bientôt, nous serons en mesure de tuer toutes les souris d'un coup.

Dites-leur que cette année la mode c'est une jupe avec un grand trou au bas du dos, et elles courront se mettre des jupes trouées révélant leurs orbes nus.

Rien en France n'est plus fort qu'un principe. A condition, bien entendu, d'en user avec modération.