Citation de Kristin Scott Thomas sur Moi, Hommes et Amoureux

On se trompe souvent en estimant trop les hommes et presque jamais en les estimant trop peu.

Les hommes à femmes se divisent en deux catégories : les portefeuilles et les portefaix !

Les hommes seraient tous de bonne race,
Dompteurs familiers des Muses hautaines,
Et les femmes, sans cancans et sans haines,
Illumineraient les soirs de leur grâce.

Il y a des choses qui s'expliquent seulement à qui veut les comprendre.

Le sexe représente une force trop immense pour que l'on en fasse bon marché ou mauvais usage.

Celui qui aime les hommes, les hommes l'aiment ; celui qui respecte les hommes, les hommes le respectent.

Alors je vois bien que la reine Mab vous a rendu visite, l'accoucheuse des songes parmi les fées !

Elle vient, pas plus volumineuse qu'une agate a un index d'échevin, derrière un attelage d'infimes créatures, se poser au bout du [...] ► Lire la suite

Les femmes ne sont vraiment exaspérées que par les hommes avec lesquels elles sont mariées depuis longtemps.

Somme toute, nous copions aujourd'hui les fauteuils et les canapés du temps de Louis XIV et de Louis XV, c'est très bien. Si nous imitions quelques-uns des hommes qui s'asseyaient dessus, ce serait mieux.

A l'image du Dieu monothéiste, correspond le mariage monogamique. Le mariage fondé sur un amour exclusif et définitif devient l'icône de la relation de Dieu avec son peuple et réciproquement.

Sauver l'humanité ne dépend de rien d'autre que des actes des hommes et de la bonté de leurs coeurs.

Les hommes sont-ils capables de laisser les autres être heureux ?

Philosophe, tout homme l'est. Mais la plupart des humains sont des hommes collectifs, qui abdiquent en autrui la responsabilité de leur être.

C'est notre devoir d'agir non seulement en vue de notre bien, mais aussi pour celui de nos descendants.

Les choses changent. Mais si vite... Est-ce que les habitudes des hommes pourront suivre ?

C'est l'amour qui est essentiel, le sexe n'est qu'un accident.

L'amour platonique est impossible entre deux jeunes gens, tôt ou tard l'un ou l'autre succombe, c'est un piège dangereux.

Nulle part, aucun régime n'a jamais aimé ses grands écrivains, seulement les petits.

Ce n'est pas la conscience des hommes qui déterminent leur existence, c'est au contraire leur existence sociale qui détermine leur conscience.

Les hommes commencent par l'amour, finissent par l'ambition, et ne se trouvent souvent dans une assiette plus tranquille que lorsqu'ils meurent.

Nous savons au moins déja une chose, c'est que l'homme est merveilleux, et que les hommes sont pitoyables.

Le moi n'est pas seulement haïssable : il n'a pas de place entre nous et rien.

Les hommes sont de petits nuages qui se forment, qui passent et qui s'évanouissent sans altérer aucunement les conditions météorologiques.

Quand les efforts des hommes tendent vers un but commun, leurs souffles s'harmonisent d'eux-mêmes.

Il y a quatre besoins humains fondamentaux ; nourriture, sommeil, sexe et vengeance.

Le mariage n'est pas un badinage, à d'austères devoirs le rang de femme engage.

Le mariage simplifie la vie et complique la journée.

Ce sont les hommes les plus sensuels qui doivent fuir devant les femmes et torturer leur corps.

Les attitudes des peuples vis-à-vis du sexe ne sont pas saines partout, sauf peut-être dans les tribus où ils se promènent nu.

Tous les morceaux que nous jouons parlent en fait uniquement de trois choses: la picole, le sexe et le rock'n'roll.