Je pense que je suis bon dans tou ce qui est langage corporel, combat, et les trucs comme ça. C'est juste naturel pour moi, peut-être parce que j'aime le sport.
Cette phrase possède 33 mots. Elle est considérée comme 1 citation longue.
Qu'importe ma vie ! Je veux seulement qu'elle reste jusqu'au bout fidèle à l'enfant que je fus.
Je ne suis pas dans mon élément en bikini devant des inconnus. Je ne me lève jamais en bikini, même à la piscine. Je me sens comme une personne normale quand il s'agit de choses comme ça. Je suis comme n'importe quelle autre fille qui ne veut pas montrer ses fesses.
Quand je suis avec toi je suis plus calme, je respire plus lentement, même si mon coeur bat plus vite.
Ils sont innombrables ceux qui me ressemblent, et moi, cependant, je demeure unique.
Je ne veux pas me faire meilleur que je ne suis, on en abuserait.
Mon travail consiste à interpréter. Je suis interprète. Je peux ajouter des éléments et apporter des qualités uniques au rôle auquel l'auteur n'a peut-être pas pensé, mais quelqu'un d'autre a créé l'idée fondamentale.
- Mais tu es Chuck Bass... - Je ne suis pas Chuck Bass sans toi...
Quand on se dit je t'aime par amitié C'est presque la dernière page Quand on se dit je t'aime un peu par pitié C'est comme la fin d'un bon voyage.
Le Barça est plus qu'un club et une grande équipe et je veux contribuer à ce que Messi reste le meilleur pendant de nombreuses années.
Je pense que ma plus grande réussite est que, après avoir traversé une période assez difficile, je me considère relativement saine.
Les socialistes disent : laissez faire ! Mais c'est une horreur ! - Et pourquoi, s'il vous plaît ? - Parce que, quand on les laisse faire, les hommes font mal et agissent contre leurs intérêts. Il est bon que [...] ► Lire la suite
Le Choeur :- Qui conduit cette machination? Je ne comprends pas.Cassandre :- Et pourtant je ne sais que trop la langue héllène.Le Choeur :- La Pythie aussi parle grec, et elle est difficile à entendre.
- Ce soir c'est la nouba? - Je l'emmène dîner au restaurant. - Tu lui brises le coeur, je te brise la tête !
Écoute-moi revivre, je te conduisAu jardin de présence,L'abandonné au soir et que les ombres couvrent,L'habitable pour toi dans le nouvel amour.
Loin de les placer sur la cime de l'élégance aristocratique, je les ravalais au plus bas de la vulgarité.
Une partie de moi a peur de se rapprocher des gens parce que j'ai peur qu'ils partent.
Quand je me tiens devant une toile, je ne sais jamais ce que je vais faire, et je suis le premier surpris par ce qui sort.
Je suis juste une grande partisane du "vous devez vous aimer avant de pouvoir aimer quelqu'un d'autre", et je pense que pour moi, cela engendre les relations les plus inspirées.
Je n'écris que sur des choses qui m'arrivent... des choses que je ne peux pas oublier personnellement. Heureusement, je suis assez auto-destructrice.
Si t'es pas con et que je t'aime pas tu peux le voir en deux secondes. Si t'es con, tant mieux pour toi, joyeuse vie dans le monde merveilleux des fourbes.
De toi ma chère et tendre mamanJe n'ai presque pas de souvenirsDe ces tendres et beaux momentsDe ma vie je ne t'ai pas vu partir.
Mais rien de tout cela ne peut rendre compte du lien invisible par lequel nous nous sommes sentis unis dès le début. Nous avions beau être profondément dissemblables, je n'en sentais pas moins que quelque chose de fondamental nous était commun, une sorte de blessure originaire.
Pour moi l'érotisme c'est toujours un jeu, subtil, entre l'invisible et le visible... Le voilement et le dévoilement... La réserve la plus extrême et la nudité soudaine... C'est la pudeur, la réserve, la mise en scène, [...] et puis, là, sans crier gare, l'impudeur, l'obscénité...
Faites-vous tant d'histoires, lorsqu'on joue votre air national? Moi, je me lève. C'est mon derrière qui obéit. Mais mon esprit reste libre.
Moi j'ai pris la peineDe le retrousser,Le jupon d'Hélène,Moi qui ne suis pas capitaine,Et j'ai vu ma peineBien récompensée...Sous le jupon de la pauvre Hélène,Sous son jupon mité,Moi j'ai trouvé des jambes de reineEt je les ai gardées.
Quelle idée peut être formée à partir de la description de ces personnes ou de ce que le crédit peut donner à leurs histoires. Je vous laisse juger.
Bernanos nomma le mal à venir, quitte à encourir les huées des optimistes qui espéraient trouver encore je ne sais quelle échappatoire et remuer le vent plutôt que de constater les faits, ces optimistes dont Bernanos disait qu'ils s'appliquaient à [...] ► Lire la suite
Quand je ne travaille pas, je pense et quand je pense, je deviens déprimé.
Lorsque la mascarade te poursuit, tu continues toujours à courir, persuadé fermement que comme la fatigue te gagne, la mascarade, elle aussi, en souffre.
Ma mère a été entraîneur de tennis - elle m'a entraîné jusqu'à mes 12 ans.