Citation de Jacques Le Goff sur Destin, Sommes et Société

Les hommes politiques sont comme des timbres : de face, ils vous sourient et sont figés, mais si jamais vous leur passez la main dans le dos, alors là ça colle.

Aimer c'est avant tout prendre un risque.

On peut descendre en enfer avec un tank, mais le diable finit toujours par vous mettre la main dessus.

Travailler n'a jamais tué personne... Pourquoi prendre le risque !

Vous devez travailler et réfléchir à la façon dont nous pouvons faire de ce monde un meilleur endroit pour tous. C'est ce que j'aimerais vraiment demander à nos jeunes leaders. Nous allons essayer en tant que leaders d'aujourd'hui de minimiser [...] ► Lire la suite

L'hypocrite est peut-être le premier à se prendre pour ce qu'il voudrait qu'on le prît.

C'est où le personnage va parler, que l'auteur doit cesser d'écrire.

Je me rends compte que, même si je suis un personnage public, c'est l'expérience la plus solitaire que j'aurai jamais vécue. Je suis seul face à la mort. C'est finalement une position très zoulou...

Je n'avais pas eu le temps de prendre mon petit déjeuner. J'aurais préféré qu'elles me montrent du saucisson ou du lard au lieu de leurs attributs. Dieu merci, les homosexuels n'ont pas eu l'idée de faire pareil.

L'histoire de l'Europe occidentale est un destin voulu, celle de l'Inde un destin fortuit.

Quand un artiste ou un auteur se vante de gagner de l'argent, il nous avertit sans y prendre garde qu'il a changé de métier.

Dans un pouvoir despotique, la main lie le pied ; dans une démocratie, c'est le pied qui lie la main.

C'est difficile de prendre au sérieux une femme qu'on a envie de toucher.

Rien ne flatte les gens davantage que l'intérêt que l'on prend ou semble prendre à leurs propos.

Il était aussi content que moi, je crois. Son coeur battait sous ma main, et cependant, ma main était loin de son coeur.

Si on portait ses chaussures à la main plutôt qu'aux pieds, elles s'useraient moins vite.

On compte sur les doigts d'une main les journées où la nation a fait bloc.

La vie est une perpétuelle distraction qui ne vous laisse même pas prendre conscience de ce dont elle distrait.

J'ai fait tous les calculs ; le destin fera le reste.

Portez votre main rapidement à votre chapeau et lentement à votre bourse.

Il sortit. La figure du monde, déchirée,
Lui parut d'une beauté autre, plus humaine.
La main du ciel cherchait sa main dans le jeu des ombres,
La pierre, où vous voyez que son nom s'efface,
S'entrouvrait, se faisait une parole.

Si une femme ne veut pas être handicapée par son intelligence, elle doit prendre bien soin de la dissimuler derrière un audacieux décolleté.

L'éternelle erreur consiste à prendre le libertinage pour la liberté.

La vérité réside dans la possibilité de considérer comme une métaphore ce que l'on avait l'habitude de prendre de façon concrète.

N'est-ce pas le destin des âmes qui s'aiment que de se déchirer ?

Il ne faut pas prendre les enfants du bon Dieu pour des canards sauvages.

Les prières sont pour les hommes ce que sont les poupées pour les enfants. Elles ne manquent ni d'utilité, ni d'agrément, mais il est difficile de les prendre au sérieux.

Il faut prendre le bénéfice avec les charges.

Il faut une infinité de temps devant soi pour commencer à réfléchir, une énergie infinie pour prendre la plus petite décision.

Les jeunes filles quitteront l'abri de la famille le jour où elles se sentiront de force à voler seules. [...] Elles n'auront rien d'altéré dans leurs façons ni dans leur visage ; il n'y aura rien de flétri dans la [...] ► Lire la suite