Citation de Gustav Mahler sur Vanité, Illusion et Renoncer

Aucun désir n'est coupable, il y a faute uniquement dans leur refoulement.

Je suis ambitieuse pour l'humanité ; moi je voudrais que tout le monde fût artiste, assez poète pour que la vanité humaine disparût.

Nos désirs vont s'interférant et, dans la confusion de l'existence, il est rare qu'un bonheur vienne justement se poser sur le désir qui l'avait réclamé.

Tant que vous n'aurez pas déployé vos ailes, vous n'aurez aucune idée de la distance à laquelle vous pouvez voler.

J'ai le désir d'ensoleiller cette langue de l'ombre qu'est l'arabe des femmes.

Le temps, c'est un peu comme le vent. Le vent, on ne le voit pas : on voit les branches qu'il remue, la poussière qu'il soulève. Mais le vent lui-même, personne ne l'a vu.

On peut ressentir une idée comme on ressent une émotion.

Tout en ce monde, me disais-je, y compris le commandement d'un joli petit trois-mâts barque, peut devenir un leurre et un piège où se prend l'orgueil téméraire de l'homme.

Le désir est le plus éloquent des langages et le mieux compris.

Je trouve mes seules vraies joies dans la solitude. Ma solitude est mon palais. C'est là que j'ai ma chaise, ma table, mon lit, mon vent et mon soleil. Quand je suis en exil, je suis assise en pays trompeur.

J'aime l'aube aux pieds nus qui se coiffe de thym,
Les coteaux violets qu'un pâle rayon dore,
Et la persienne ouverte avec un bruit sonore,
Pour boire le vent frais qui monte du jardin,

Le désir refoulé se manifeste dans la maladie.

Dans le mois du vent noir et des brouillards plombés
Les pétales du vieil automne sont tombés.
Le beau ciel chromatique agonise sa gamme.

Seul est grand celui qui transforme la voix du vent en un chant que son propre amour aura rendu plus doux.

Qui vend sa paille vend son grain, Qui vend son fumier vent son pain.

Enfermé dans la souffrance, isolé dans le plaisir, solitaire dans la mort, l'homme est condamné, par sa condition même, à ne jamais satisfaire un désir de communication auquel il ne saurait renoncer.

Si l'on devait vivre éternellement, tout deviendrait monotone. C'est l'idée de la mort qui nous talonne. C'est la hantise et le désir de l'homme de laisser une trace indélébile de son éphémère passage sur cette terre qui donnent naissance à l'art.

Le désir du privilège et le goût de l'égalité, passions dominantes et contradictoires des Français de toute époque.

La recherche patiente et sans fadeur d'un bonheur partagé entre tous reste une idée neuve à la télévision comme... ailleurs.

La chose étrange avec les gens intelligents est qu'ils abordent chaque idée comme un problème, ils n'ont pratiquement aucune notion de ce qu'est un vrai problème.

Le temps passe et n'attend personne. Toutes les amarres du monde ne sauraient le retenir. Il n'a pas de port d'attache, le temps ; ce n'est qu'un coup de vent qui passe et qui ne se retourne pas.

Si un western est un bon western, il vous donne une idée de ce monde et de certaines des qualités que ces hommes avaient : leur camaraderie, leur loyauté et leur courage physique

Qu'est-ce que la fidélité sinon le désir de poursuivre le même combat avec le même ennemi ?

Rouge le soir, beau temps arrive, rouge le matin, eau et vent en chemin.

Vivre pleinement c'est l'image que vous me donnez.

Un sourire voir vos yeux c'est un rêve que je veux à présent.

Ma timidité va dépasser toutes mes espérances pour regarder loin désormais.

Ne m'en voulez pas si nos regards ne peuvent plus se [...] ► Lire la suite

Si un homme a une grande idée de lui-même, on peut être sûr que c'est la seule grande idée qu'il ait jamais eue dans sa vie.

L'éducation sexuelle peut être une bonne idée dans les écoles, mais je ne pense pas que les enfants devraient avoir des devoirs.

Personne n'a le droit de vous demander de renoncer à vous-même.

Le vent du dehors écrit ce livre.

L'homme oriente sa voile, appuie sur le gouvernail, avançant contre le vent par la force même du vent.