Le fils est le support de la maison, la fille le butin d'autrui.
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Ce dicton possède 14 mots. Il est considéré comme 1 proverbe court.
La morale est une éthique des corps pris pour autre chose que ce qu'ils sont.
Quand la racine est sauve, le feuillage revient étendre sur la maison son ombre.
Cherchez et vous trouverez... autre chose.
Croire n'est autre que, dans l'obscurité du monde, toucher la main de Dieu et ainsi, dans le silence, écouter la Parole, voir l'Amour.
Ne remets pas à demain l'effort de confier à un autre ce que tu as à faire aujourd'hui.
Le plus court chemin d'un coeur à un autre : la ligne droite.
Quand le feu est à la maison de ton voisin, la tienne est en danger.
Le goût de la possession n'est qu'une autre forme du désir de durer ; c'est lui qui fait le délire impuissant de l'amour.
- Oh oh là mon pote je t'arrête, tu déconnes. Masser les pieds et bouffer la chatte d'une gonzesse ça fait deux. - Qui a dit le contraire ! Je te dis que c'est du même ordre ! - Ah tu trouves [...] ► Lire la suite
Quand il y a une vieille fille dans une maison, les chiens de garde sont inutiles.
Je me demande si cette fois-ci je reviendrai. Si je reviendrai dans la vie. Je vis dans du décolorant. Je me souviens des jours dorés. Je me souviens de l'ombre qui tremble. Je me souviens du pain, du café qui [...] ► Lire la suite
Voilà. Un de plus, un de moins. Une autre histoire d'amour gâchée. Pourtant je l'aimais celui-là... Quand je pense que c'est fini, que j'le reverrais plus jamais comme ça... Oui, je le verrais peut être, en ami, de temps en [...] ► Lire la suite
Le mariage est une cérémonie où un anneau est passé au doigt de l'épouse et un autre au nez de l'époux.
Entourez plutôt votre maison de pierres que de voisins.
La philosophie n'est autre chose que l'effort de l'esprit pour se rendre compte de l'évidence.
Le malheur, en s'attachant à moi, m'enseigna peu à peu une autre religion que la religion enseignée par les hommes.
Le langage, un autre mur...
À propos de temps qu'il fait... L'autre jour quand il faisait si froid, l'un de mes amis est entré dans un magasin pour acheter un pardessus. Il y était déjà venu 10 ans auparavant acheter un autre pardessus. Il ouvre la porte et dit au vendeur : « Bonjour Monsieur, c'est encore moi ! »
Chaque moment d'attente ôte de notre prix, et fille qui vieillit tombe dans le mépris.
« La plus belle fille du monde...» Mais la plus laide donne plus.
La mort ne serait-elle pas tout simplement le passage d'un complexe dimensionnel à un autre ?
Il ne faut pas parler de concorde dans la maison d'un imbécile pendu.
Quoi de plus banal, de plus prosaïque que la mort ? Elle est à la portée du premier venu. Mais vivre est une autre affaire !
L'homme qui relit et qui tient la plume pour se corriger est plus ou moins un autre homme que celui du premier jet. Il y a deux choses que l'expérience doit apprendre : la première, c'est qu'il faut beaucoup corriger ; la seconde, c'est qu'il ne faut pas trop corriger.
Si l'on devait vivre éternellement, tout deviendrait monotone. C'est l'idée de la mort qui nous talonne. C'est la hantise et le désir de l'homme de laisser une trace indélébile de son éphémère passage sur cette terre qui donnent naissance à l'art.
À l'exception de quelques situations particulières extrêmement rares, telles que le système du kibboutz israélien, l'humanité n'a trouvé nulle autre organisation que celle de la famille pour assurer le développement de la personnalité.
Amour : sentiment proche du stoïcisme qui consiste, pour l'homme, à se satisfaire d'une seule femme. Et, pour la femme, à demeurer discrète sur ses autres liaisons.
La faim est un nuage d'où il tombe une pluie de science et d'éloquence. La satiété est un autre nuage qui fait pleuvoir une pluie d'ignorance et de grossièreté.
Femme superbe et mari criard, ne profiteront jamais de leur union.
Comment Hillary Clinton peut-elle satisfaire son pays si elle ne satisfait pas son mari ?