Citation de Will.I.Am sur Monde, Problème et Parce

L'optimiste est celui qui sait à quel point le monde peut être triste. Le pessimiste, celui qui le découvre tous les jours.

J'ai compris ce jour-là, à travers ces yeux fatigués et implorants, que le regard d'un animal parle autant que celui d'un humain. Si seulement nous savions mieux lire ce qu'ils nous disent !

Le mal serait le problème limite de la philosophie, celui par lequel elle s'expose.

Il semble que le monde est divisé vraiment entre bons et méchants : les bons et les méchants. Les bons dorment mieux... mais les méchants profitent beaucoup plus de leurs heures de veille.

Le problème des hommes, c'est qu'ils négligent leur propre champ pour aller ensemencer celui des autres.

L'essence de la raison ne consiste pas à assurer à l'homme un fondement et des pouvoirs, mais à le mettre en question et à l'inviter à la justice.

La non-violence est la réponse aux cruciales questions politiques et morales de notre temps.

L'unique chose dont le monde n'aura jamais assez est l'exagération.

Une question est une réponse.

Le monde est tout petit lorsque l'Amour est grand.

Tout le monde peut vous dire comment le faire, mais ils ne l'ont jamais fait.

La justice, c'est une question de faux col.

Car le monde quand il vacille, ne tient qu'au fil des filles gentilles.

Le Festival est un no man's land apolitique, un microcosme de ce que serait le monde si les hommes pouvaient prendre des contacts directs et parler la même langue.

Je pense que beaucoup de gens sont bons dans bien plus de domaines que ce que le monde ne leur laisse l'opportunité d'exploiter.

Le chant des oiseaux m'exaspérait. Ces putains de piafs et la musique du bonheur! Je croyais encore que les autres étaient heureux. J'étais jaloux de leurs belles gueules. J'étais jaloux de la vie des autres. J'étais jaloux de la vie. [...] ► Lire la suite

C'est quand on se pose la question de ses propres limites qu'on n'arrive pas à les dépasser.

À toutes les époques, des penseurs - des philosophes, des idéologues, des théoriciens, mais aussi des essayistes et des écrivains - se sont consacrés au travail de la pensée. En s'efforçant de penser le monde, ils ont proposé autant de conceptions du monde permettant (ou non) de mieux le comprendre.

« Musicien, assieds-toi et écris un livre
Que tout le monde puisse lire. »
Il dit et s'en alla.
Alors, je cueillis un roseau.

La lecture, une porte ouverte sur un monde enchanté.

Et si c'était ça, la réponse : ne pouvoir compter sur la chance ?

Il n'existe de plus grande douleur au monde que la perte de sa terre natale.

Je ne savais pas que j'étais vraiment en vie dans ce monde jusqu'à ce que je sente les choses assez dures pour les tuer.

Si vous faites tout ce que tout le monde fait dans le monde des affaires, vous allez perdre. La seule façon d'être vraiment en avance, c'est d'être « différent ».

Tout le monde n'est pas capable d'être heureux.

Le théâtre a toujours placé en exergue du monde ce qui le déchirait. Il n'existe que dans le rapport à la blessure dont le terme le plus commun est la psychose, la folie : l'histoire du théâtre est une longue histoire de fous, de possédés.

L'école n'a pas à endoctriner, elle n'a pas d'avantage à se poser en rivale de la famille.

Si un plus grand nombre d'entre nous préférait la nourriture, la gaieté et les chansons aux entassements d'or, le monde serait plus rempli de joie.

Tout le monde fait des bêtises. Le fin du fin, c'est de les faire au moment où personne ne regarde.

Si le metteur en scène vous aime et que vous aimez travailler avec lui, alors il n'est plus question de « diriger ». On devient un instrument entre les mains de quelqu'un à qui on fait entièrement confiance.