Citation d'Alexandre Pouchkine sur Quelque, Entre et Part

L'art de savoir ne rien faire est une discipline extrêmement laborieuse.

On n'est pas homme si on n'est pas libre et pas libre si on ne jouit pas de sa liberté, si on ne s'en sert pas, pour décider, se constituer, puis lutter pour se garder et pour grandir.

L'homme n'est libre que de choisir sa servitude.

La violence engendre la violence.

La traîtrise et la violence sont des lances à deux pointes ; elles blessent ceux qui y ont recours plus grièvement que leurs ennemis.

La famille, ce havre de sécurité, est en même temps le lieu de la violence extrême.

La discipline est la toile de fond de tous les exploits.

L'Artiste est l'homme libre par excellence.

L'esprit libre et curieux de l'homme est ce qui a le plus de prix au monde.

Une oeuvre d'art n'est pas affaire de belles pensées ou d'émotions tendres, mais d'intelligence, d'adresse, de goût, de proportion, de savoir, de discipline et d'industrie ; surtout disciplinaire.

La discipline est la force principale de ceux qui ne savent pas se faire obéir sans commander.

La violence engendre la violence. C'est pourquoi la plupart des révolutions se sont perverties en dictatures.

La poésie est une plante libre ; elle croit là où on ne la sème pas. Le poète n'est pas autre chose que le botaniste patient qui gravit les montagnes pour aller la cueillir.

La violence conjugale est un rouleau compresseur qui écrase tout sur son passage : la capacité de discernement, la faculté de se révolter, le bon sens. C'est comme une maladie qui gagne chaque jour du terrain parce qu'on ne prend pas le temps de la soigner, occupé que l'on est à gérer le quotidien.

La tendresse est respect et émerveillement de libre connaissance à travers la fibre de la fidélité...

Je ne suis pas un oiseau et aucun filet ne me prend au piège. Je suis un être humain libre et ayant une volonté indépendante que j'exerce maintenant pour vous quitter.

Le sexe mène à la violence ou à la mélancolie.

Si l'homme est sans préoccupation des choses éloignées, assurément le malheur sera proche.

La discipline en soi n'est pas un concept empoisonné, seule l'est la discipline imposée au lieu d'être choisie.

Etre libre et seul, c'est oublier le temps présent. C'est retrouver en soi un univers à part qui vous appartient en propre et que vous n'avez livré à personne.

Chacun de nous porte en lui ces propres îles, refuges contre la bêtise, la laideur et la sourde contrainte d'un ordinaire non-désiré.

Dire des idioties, de nos jours où tout le monde réfléchit profondément, c'est le seul moyen de prouver qu'on a une pensée libre et indépendante.

Le temps aide beaucoup. J'ai trouvé que la renommée était vraiment un tourment pendant un moment. Ensuite, vous apprenez à faire avec.

La violence : une force faible.

De l'Inquisition aux nazis, la destruction obsède les oppresseurs qui, en anéantissant livres et auteurs, pensent éradiquer à jamais leurs idées.

La classe dirigeante a compris qu'une population heureuse, productive et jouissant de temps libre est un danger mortel.

La guerre est une violence en action, et son usage n'est limité par rien ; chacun des adversaires impose à l'autre sa loi, d'où découle une interaction qui ne peut manquer, conformément à l'essence du sujet, de mener aux extrêmes.

La plénitude de l'amour du prochain, c'est simplement d'être capable de lui demander : "Quel est ton tourment ?"

L'homme et sa sécurité doivent constituer la première préoccupation de toute aventure technologique.

La violence est ce temps qui recouvre les blessures, l'enchaînement irréductible des jours, cet impossible retour en arrière.