Citation de Conrad Pfeffel sur Avant, Crime et Laisser

Le succès de la plupart de nos réussites dépend bien souvent de la volonté qu'on y met.

Celui qui obéit à la loi ne se sent pas juste pour autant. Au contraire, il se sent coupable, il est d'avance coupable, et d'autant plus coupable qu'il obéit plus strictement.

L'égoïsme est souvent la marque de la vanité et de la peur.

La guerre n'existerait pas, sans la littérature. Et il n'y aurait plus de crime possible, si le meurtrier ne pouvait pleurer un peu sur ses victimes.

Toute humanité veut vivre, mais elle ne veut pas payer le prix et ce prix est le prix de la mort.

Cela fait souvent de la peine de penser.

La force de caractère nous amène à parler d'une variété de celle-ci, l'obstination. Il est souvent très difficile de dire dans les cas concrets où commence l'une et où finit l'autre ; par contre, la différence abstraite entre les deux ne paraît pas difficile à établir.

Les plus silencieux s'avèrent souvent les meilleurs orateurs dès qu'on leur en donne l'occasion.

L'impardonnable est souvent aussi ce qu'on pardonne le plus aisément.

Exerce-toi à changer souvent d'opinion politique. C'est le seul moyen d'avoir un jour une véritable conviction.

Nos bonnes actions sont souvent plus troubles que nos péchés.

Mettre à mort un meurtrier est une punition sans commune mesure avec le crime qu'il a commis.

Quiconque se marie en août, souvent n'amasse rien du tout.

La possession diminue souvent au lieu de la compléter la connaissance que l'on avait l'un de l'autre.

Une secrétaire est une employée à qui il arrive de se dévouer tellement pour son patron qu'elle est souvent sur les genoux.

Lorsqu'un scientifique est en avance sur son temps, c'est souvent par incompréhension de la vérité actuelle plutôt que par intuition de la vérité future. En science, il n'y a jamais d'erreur si grossière qu'elle ne paraisse un jour, d'un certain point de vue, prophétique.

C'est souvent aux femmes qui ont la beauté du diable que les hommes doivent leurs cornes.

La connaissance de soi est à la fois inutile et inappétissante. Qui souvent s'examine n'avance guère dans la connaissance de lui-même. Et moins on se connaît, mieux on se porte.

Nous donnons bien souvent de divers noms aux choses : Des épines pour moi, vous les nommez des roses.

Le crime rend égaux tous les êtres qu'il souille.

Le mal s'arrête souvent à lui-même et meurt avec celui qui l'a fait ! Le bien, jamais.

Le moyen le plus direct de gagner la renommée est d'affirmer avec une ferme assurance et le plus souvent possible qu'on la possède déjà.

On ne peut pas tout avoir, je l'ai souvent remarqué.

Le bonheur n'est que dans ce qui agite, et il n'y a que le crime qui agite : la vertu, qui n'est qu'un état d'inaction et de repos, ne peut jamais conduire au bonheur.

Le courage n'est pas de peindre cette vie comme un enfer puisqu'elle en est si souvent un : c'est de la voir telle et de maintenir malgré tout l'espoir du paradis.

- Oh oh là mon pote je t'arrête, tu déconnes. Masser les pieds et bouffer la chatte d'une gonzesse ça fait deux.

- Qui a dit le contraire ! Je te dis que c'est du même ordre !

- Ah tu trouves [...] ► Lire la suite

Le trop d'attention qu'on a pour le danger fait le plus souvent qu'on y tombe.

La forme n'est souvent qu'une mise en scène qui déforme.

La raison est souvent entre le rire et la colère.

Un homme qui écrit bien n'écrit pas comme on a écrit, mais comme il écrit, et c'est souvent en parlant mal qu'on parle bien.