Citation de Stephen King sur Roman, Reste et Fin

Mourir n'est peut-être pas la fin, mais c'est la fin pour ceux qui restent.

Nos biens sont en idée, en espoir, en désir ; Posséder ce qu'on veut, est la fin du plaisir.

Je passe mes week-ends à dormir et regarder des DVD, et à manger dans les restaurants dans un rayon de 2 pâtés de maisons de mon appartement.

Je vins dans les villes au temps du désordre.
Quand la faim y régnait.
Je vins parmi les hommes au temps de la révolte
Et je me suis révolté avec eux.
Ainsi passa le temps
Qui m'était donné sur la terre.

Ils sont libres et indépendants, les connaisseurs de leur fin proche.

La pensée est une maladie particulière à quelques individus et qui ne se propagerait pas sans amener promptement la fin de l'espèce.

Partager un repas avec quelqu'un est un acte intime qui ne devrait pas être pris à la légère.

La faim est le premier service d'un bon dîner.

La spécialisation, cela met tôt ou tard un terme au progrès d'une espèce.

Sans pardon, la vie est gouvernée par un parcours sans fin de ressentiment et de vengeance.

Le premier sot venu peut écrire : le premier sot venu sur deux peut faire de la critique littéraire ou théâtrale.

Je n'aime pas le brocoli. Et ça ne me plaisait pas depuis que je suis petit et ma mère me l'a fait manger. Et je suis président des États-Unis et je ne vais plus manger de brocoli.

A long terme la littérature exerce sur l'homme un effet libérateur et cela par la force même de son expression propre : la forme, le style.

Quand je vais manger ma socca chez Pipo ou acheter mes pâtes chez Quirino, rue Bavastro, je déclenche une mini-émeute. Mais quand il s'agit d'organiser des concerts, il n'y a plus personne. Ça a été comme ça depuis mes débuts.

La propriété littéraire est une propriété.

À manger trop vite, on se brûle la bouche.

La politique, si vous vous avisez de penser à ceux qui vous la servent, il y a de quoi se lever de table et faire voeu de ne plus manger que des oeufs à la coque.

On peut manger autant de steaks et de poisson que l'on veut, le corps ne peut en absorber que 70 grammes par prise. C'est la règle : quel que soit votre poids, un gramme par kilo. Les boissons protéinées sont [...] ► Lire la suite

La mort c'est la fin de tout, c'est la cassure définitive et l'impossibilité totale d'obtenir la moindre réponse à la plus petite question.

Pas plus que le roman ne peut se borner à la fiction, il ne peut se passer d'elle.

Le couplage anthropophagie-inceste, les deux grandes consommations interdites, me paraît caractéristique de cette première présentation du monstre sur l'horizon de la pratique, de la pensée et de l'imagination juridique de la fin du XVIIIe siècle. Avec ceci : c'est que [...] ► Lire la suite

Il faut manger comme un homme en bonne santé et boire comme un malade.

Nous avons tous là un petit temple où nous abritons religieusement toutes nos idoles, croyances, rêves, affections. Elles sont là, debout, en équilibre, chacune sur son piédestal... Fiers de ce doux fardeau, nous marchons dans la vie comme ces mouleurs [...] ► Lire la suite

Le début de l'absence est comme la fin de la vie.

M'en voulez pas, mais je vais manger ailleurs.

Monter, descendre, aller, venir, tant fait l'homme qu'à la fin il disparaît.

Avec tout ce qu'on nous dit sur la viande, pour continuer à en manger aujourd'hui, faut vraiment être boucher !

Nous savons à quel désespoir Judas fut abandonné de Dieu, et à quelle fin malheureuse il s'abandonna lui-même.

Les unité sont liées par la fin et le plan.

Aux heures creuses de la journée, au retour du bureau, et souvent dans la solitude des dimanches soir, un détail me revient. De toute mon attention, j'essaye d'en rassembler d'autres et de les noter à la fin du cahier de [...] ► Lire la suite