Citation de Bertrand Blier sur Homme, Vivre et Parce

Une utopie est une réalité en puissance.

Le serpent n'a pas de pattes, mais il est aussi rapide que n'importe quel autre animal qui a quatre pattes.

Au bord du monde, quelle que soit la force qui nous pousse vers le vide, beaucoup d'entre nous se retournent et veulent faire durer le plus longtemps possible cet instant de suspension.

Rien ne nous est plus utile que de vivre tranquille, de parler peu avec les autres et beaucoup avec nous-mêmes.

Le présent, nous y sommes attachés. L'avenir, nous le fabriquons dans notre imagination. Seul le passé, quand nous ne le refabriquons pas, est réalité pure.

L'expérience des autres ne compte pas ! La réponse est en toi ! Il faut apprendre à vivre par soi-même !

Le simple fait d'être est une grâce. Le simple fait de vivre est saint.

Chaque jour que je passe est un vrai cauchemar pour réussir à vivre sans toi.

Dieu nous a donné le vivre ; c'est à nous de nous donner le bien vivre.

Il n'est pas possible de vivre heureux sans être sage, honnête et juste, ni sage, honnête et juste sans être heureux.

Toute ma vie, j'ai toujours rêvé de voler. j'ai toujours rêvé de vivre comme un faucon. Je sais qu'il ne faut pas être jaloux, mais prendre son envol, s'élever au dessus de tout et de tout le monde... c'est ça [...] ► Lire la suite

Je puis me passer de sympathie comme on peut se passer de tout ; mais quand j'en retrouve un peu quelque ombre, je ne comprends plus comment on s'en passe. C'est un plaisir si immense ! C'est tout autre chose [...] ► Lire la suite

On donne généralement le nom de découverte à la connaissance d'un fait nouveau ; mais je pense que c'est l'idée qui se rattache au fait découvert qui constitue en réalité la découverte.

Lorsque les jeux olympiques furent rétablis en 1894, il fut stipulé qu'ils comprendraient autant que possible toutes les formes d'exercices en usage dans le monde moderne.

Or chaque homme, par sa nature même, possède innée en lui la lumière de la raison qui dirige ses actes vers sa fin. Et s'il convenait à l'homme de vivre solitaire, comme il en va pour beaucoup d'animaux, cette lumière [...] ► Lire la suite

La vie est trop courte pour faire face aux insécurités des autres.

Nous avons tendance à penser que les violences dans le monde, via nos écrans, sont anecdotiques, locales. Nous les regardons comme un spectacle. En vérité elles incarnent la réalité de la planétarisation.

A force de vivre ensemble, on finit par se ressembler, à devenir comme deux vases communicants, pour le meilleur et pour le pire.

Tout changera, mais le monde changera t-il ?
Ce sera toujours le monde où le déluge est possible et où l'homme ne peut le combattre qu'en se transformant lui-même.

Ceux qui rendent une révolution pacifique impossible rendront une révolution violente inévitable.

Rien n'est plus beau chez l'homme que le don de pitié, reçu dès l'enfance ; il lui permet de vivre et de vieillir sans se plaindre de ne pas pousser à la roue de l'univers.

Je l'ai posé comme maxime, qu'il est bon pour un homme de vivre là où il peut rencontrer ses meilleurs, intellectuels et sociaux.

Il faut vivre et non pas seulement exister.

Mourir, c'est facile, mais vivre on ne s'en sort pas.

L'amitié est plus immuable que l'amour car elle n'exige rien en retour. Un ami perdu ne peut se remplacer parce qu'il est impossible de se donner totalement deux fois dans sa vie.

Nous devons nous éloigner d'une société obsédée par la consommation et le consumérisme, alors peut-être devons-nous revoir notre mode de vie et considérer comment nos actions et notre vie quotidienne affectent notre monde.

Les images choisies par le souvenir sont aussi arbitraires, aussi étroites, aussi insaisissables, que celles que l'imagination avait formées et la réalité détruites.

Je comprends que cette cour peut vous paraître petite, mais elle est en réalité agrandie par un règlement adroit.

Embrasse peu d'affaires si tu veux vivre en joie.

Il vaut mieux vivre dans la plate solitude que de toucher un peu à la joie, l'étreindre pendant quelques jours, et finalement la perdre sans raison apparente.