Citation de Frédéric Bastiat sur Monde, Vivre et Etat

Si un extraterrestre nous regardait, il se dirait : qu'est-ce qu'ils sont intelligents ces êtres humains, mais qu'est-ce qu'ils sont crétins à avoir crée un concept pour pouvoir vivre alors que l'on vit.

J'aime sentir un sentiment d'unité avec la foule même si tout le monde pourrait penser à quelque chose de différent.

Il est vital d'enseigner l'origine de l'homme dès les premières années scolaires. Pour une raison capitale : lorsque l'on sait, très jeune, que l'homme fait partie du monde animal, que son cousin le plus proche est le grand singe, qu'il [...] ► Lire la suite

La mort est un vêtement que tout le monde devra porter.

Il n'est pas nécessaire de vivre mais il l'est de vivre heureux.

Pour vivre en paix, trouvons la distance où nous ne nous gênons pas les uns les autres.

Le bonheur et le malheur se trouvent dans l'âme.

Barbare ou civilisé, l'homme n'a jamais su ni façonner le monde à la mesure de son coeur, ni façonner ce coeur à la mesure de ses désirs.

Un monde gagné pour la technique est perdu pour la liberté.

Il ne faut rien regretter, car n'est-ce pas reconnaître qu'il y a au monde quelque chose de bon ?

Il ne s'agit pas de prendre l'opinion du monde comme une étoile directrice, mais de suivre son chemin dans la vie et de travailler sans relâche, ni déprimé par les échecs ni séduit par les applaudissements.

A long terme, trop de sécurité ne semble apporter que le danger. C'est peut-être ce que suggère la maxime de Thoreau : le salut du monde est dans l'état sauvage.

Je préfère vivre ma vie comme s'il y avait un Dieu et mourir pour découvrir qu'il n'y en avait pas, que vivre comme s'il n'y en avait pas et mourir pour découvrir qu'il y en avait un.

Même les bons diables envoient du monde en enfer !

Dieu ne veut point d'un coeur où le monde domine.

Le monde est plein de braves gens qui ne voient partout que des gredins.

Tout romancier, tout cinéaste, a au fond de lui un nombril du monde à exhiber.

Les détails, comme chacun le sait, conduisent à la vertu et au bonheur ; les généralités sont, au point de vue intellectuel, des maux inévitables.

Pour vivre tranquille, il faut être complètement libre ou complètement dépendant.

Les citations, c'est de la pensée en conserve : c'est pas cher, c'est pas toujours très bon, mais tout le monde en mange.

Les réglements c'est comme la Bible. Tout le monde pense les connaître mais personne ne les lit.

Dans le monde d'autrefois, on s'efforçait de comprendre ; dans le nôtre, on veut savoir.

Le vin est ce qu'il y a de plus civilisé au monde.

On ne possède pas le bonheur comme une acquisition définitive. Il s'agit à chaque instant de faire jaillir une étincelle de joie. Ne l'oublions pas : "Souris au monde et le monde te sourira."

Quand une femme est seule, elle se voit seule au monde !

Les poètes nous transportent dans un monde plus vaste ou plus beau, plus ardent ou plus doux que celui qui nous est donné, différent par là même, et en pratique presque inhabitable.

Tout le monde se plaint de sa mémoire, et personne ne se plaint de son jugement.

Les hommes piétinent le bonheur au lieu de le remuer comme une terre délicate.

Parce qu'on ne peut pas vivre sans quelqu'un à aimer.

Le bonheur est une chose qu'il faut savoir se faire pardonner.