Citation de Jean Sébastien Bach sur Moi, Idiot et Décidé

Je suis vivant et je veux continuer à vivre.

J'ai toujours traité mes enfants comme des êtres à part entière. Je respecte entièrement leurs sentiments et leurs aspirations.

Si je fais bien mon travail, je n'écris pas le dialogue; les personnages disent le dialogue, et je ne fais que le noter.

J'essaie de ne pas trop boire parce que quand je suis ivre, je mords.

Ce qui m'intéresse, c'est la fêlure. L'envers des évidences. Moi, je ne craque pas pour Rambo. Il se démerde tout seul dans sa jungle, il n'a besoin de personne et surtout pas de moi.

Prodigieux amour auquel je viens de naître qui m'impose d'aimer un être détesté.

Dire je est incomparablement plus modeste que dire nous. Cela devrait aller de soi.

Je ne suis pas raciste. Je n'ai jamais fait de commentaires racistes. Je n'ai jamais attaqué personnellement Obama.

L'anxiété, comme vous l'expliquera tout psychiatre prohibitif, est causée par la dépression; mais la dépression, comme vous le dira le même psychiatre, à la deuxième visite, est causée par l'anxiété. Je tournai en rond dans ce cercle monotone tout l'après-midi. Mais, à la tombée de la nuit, les deux démons s'étaient associés...

Je traite le travail comme je traite ma mère - je ne les toucherais pas même avec une fleur.

À toi mon coeur et mon amour : je t'aime pour toujours.

Entre deux maux, je choisis toujours celui que je n'ai jamais essayé.

Personne ne fait d'erreurs volontairement Hanna. On essaie toujours de faire au mieux, on essaie toujours de faire les meilleurs choix. Ce que je n'arrive pas à me pardonner, c'est de ne plus être là pour toi quand tu en as besoin.

Ben oui, notre amour était mort, mais voici que je t'aime encore !

Au mois d'avril, si mon maître ne me voyait, je dormirais.
Au mois de mai, qu'il me voie ou non, je dormirai.

Rien n'est plus redouté que le gouvernement national se mêlant de la religion.

Ce que je cherche n'est pas le réel et non l'irréel, mais plutôt l'inconscient, le mystère de l'instinct dans la race humaine.

L'été est une saison qui prête au comique. Pourquoi ? Je n'en sais rien. Mais cela est.

Je n'aurais que faire d'un paradis où je serais privé du droit de préférer l'enfer.

Christian a été l'amour de ma vie. J'aurais tout fait pour lui, je faisais tout pour lui (...) Cette séparation a été un tremblement de terre pour moi.

Je me sens des fourmis dans les idées Quand je rentre chez moi la nuit tombée.

Chaque année, des dizaines de milliers d'animaux souffrent et meurent lors de tests en laboratoire de cosmétiques et de produits ménagers... malgré le fait que les résultats des tests n'aident pas à prévenir ou à traiter l'utilisation accidentelle ou délibérée [...] ► Lire la suite

J'entreprends ce voyage pour être loin de l'hideuse face humaine !
Enfin, pouvoir durant 15 jours se recueillir sur la face grave de l'océan! Son visage attristé est le mien. Ce flot horrible qui déferle, mon amertume. Moi aussi j'ai mes abîmes.

- Je suppose que Mason est avec toi.

- Il est juste à côté de moi. Même si son coeur est à l'autre bout de la pièce.

Trouvez-moi un homme qui vit seul et dont la cuisine est propre en permanence, et neuf fois sur dix je vous montrerai un homme tout à fait détestable.

Mes chers amis, quand je mourrai, plantez un saule au cimetière. J'aime son feuillage éploré ; la pâleur m'en est douce et chère, et son ombre sera légère à la terre où je dormirai.

Quand je serai fatigué
De sourire à ces gens qui m'écrasent
Quand je serai fatigué
De leurs dire toujours les mêmes phrases
Quand leurs mots voleront en éclats
Quand il n'y aura plus que des murs en face de moi
J'irai dormir chez la dame de Haute-Savoie.

J'ai eu assez vite le coup de foudre, même si je pense que ça n'a pas été réciproque ! Jade a un physique très avantageux, mais ce qui m'a beaucoup plu en elle, c'est son caractère.

Bien que je sois un solitaire typique dans ma vie quotidienne, ma conscience d'appartenir à la communauté invisible de ceux qui luttent pour la vérité, la beauté et la justice m'a empêché de me sentir isolée.

Je crois, ce soir, qu'il faut être à sa vie avant d'être à son amour, et que j'ai eu tort de rompre si totalement avec moi-même. J'ai tué ce que je lui donnais de moi.