Citation de Boris Vian sur Musique, Chose et Autres

Aucun doute le chien est fidèle. Mais nous faut-il, pour cela, prendre exemple sur lui ? Il est fidèle à l'homme, non pas au chien.

On peut écrire dans le bruit. Mais on ne peut guère se relire que dans le silence.

L'important n'est pas ce qu'on supporte, mais la façon de le supporter.

Les vengeances châtient, mais n'éliminent pas les fautes.

La publicité peut beaucoup mais elle ne sait pas faire de miracle.

Pour intéresser le lecteur aujourd'hui, pour raconter un homme politique dans ses combats politiques, mais aussi dans ce qu'il a de chair - c'est de la chair, c'est une personne privée, qui a des passions, des amours, et heureusement... (...) [...] ► Lire la suite

Si vous faites des choses, qu'il s'agisse de la musique ou de la peinture, faites-le sans crainte, c'est ma philosophie. Parce que personne ne peut vous arrêter et vous mettre en prison si vous peignez mal, donc il n'y a rien à perdre.

Envier le bonheur d'autrui, c'est folie. On ne saurait pas s'en servir. Le bonheur ne se veut pas tout fait, mais sur mesure.

On n'est jamais si fortement tenté de croire aux dieux que lorsqu'on devient dieu soi-même. Mais celui qui fait croire en lui a tout à gagner et le dieu tout à perdre.

Tous les hommes ont mêmes droits... Mais du commun lot, il en est qui ont plus de pouvoirs que d'autres. Là est l'inégalité.

La connaissance donne le pouvoir, mais la force de caractère entraîne le respect.

Certains disent que nos vies sont définies par la somme de nos choix. Mais ce ne sont pas vraiment nos choix qui distinguent qui nous sommes. C'est notre engagement pour eux !

Nous disons la mort pour simplifier, mais il y en a presque autant que de personnes.

Je pense que maintenant c'est l'argent qui dit à l'artiste quoi faire - ce n'est pas l'artiste qui dit à l'argent quoi faire. Et les choses bougent très vite, ce qui est difficile, car il faut parfois plus de temps [...] ► Lire la suite

L'Art n'est pas ce que vous voyez, mais ce que vous faites voir aux autres.

La langue n'a pas d'os, mais elle brise des os.

- Je voudrais que l'anneau ne soit jamais venu à moi. Que rien de tout ceci ne se soit passé.

- Comme tous ceux qui vivent des heures si sombres mais ce n'est pas à eux de décider. Tout ce que vous avez à décidez c'est quoi faire du temps qui nous est imparti.

La peinture est un art et l'art dans son ensemble n'est pas une vaine création d'objets qui se perdent dans le vide, mais une puissance qui a un but et doit servir à l'évolution et à l'affinement de l'âme humaine.

Ce qui est criminel ce n'est pas d'échouer, mais de viser trop bas.

- Mais au sens figuré dieu aime la violence, vous comprenez cela n'est-ce pas ?

- Non. Non je ne comprends pas.

- Pourquoi y en aurait-il autant sinon ? Elle est en nous. Elle vient de nous. Elle est encore plus [...] ► Lire la suite

Tout le monde a des talents - nous avons tous un côté artistique et un certain talent - mais vous avez des domaines dans lesquels vous êtes meilleur que d'autres.

Qu'est-ce que le passé ? Non pas une source de regret ou d'amertume mais un territoire qui porte le présent et lui assure une solidité, une stabilité.

Je suis né à Montreuil en Seine saint-Denis. Je ne suis donc pas un immigré [...] et mes parents étaient français. Mais mes origines sont en effet berbères et mon nom signifie en effet olivier en berbère.

- Des perles de la mer de Propentis

- Elles sont magnifiques, mais je ne peut les porter: Ménélas serait capable de nous tuer.

- N'aie pas peur de mourir

- Je n'ai pas peur de mourir. J'ai peur [...] ► Lire la suite

On ne lit pas, ni écrit de la poésie, parce que c'est joli. On lit et écrit de la poésie car on fait partie de l'humanité. Et l'humanité est faite de passion. La médecine, le droit, le commerce sont nécessaires [...] ► Lire la suite

Je me souviens d'un commentaire d'un de tes professeurs sur ton carnet de note : « A touché le fond... mais creuse encore ! »

On a beau dire, le vol ne rapporte jamais mais la restitution non plus.

Les femmes de plus de trente ans sont à leur meilleur niveau, mais les hommes de plus de trente ans sont trop âgés pour le reconnaître.

Nous avons un goût naturel pour le faux, mais nous avons naturellement besoin de croire que le faux est le vrai.

L'homme pauvre, mais indépendant des hommes, n'est qu'aux ordres de la nécessité. L'homme riche, mais dépendant, est aux ordres d'un autre homme ou de plusieurs.