Citation de Michel Polac sur Vivre, Entre et Différence

Notons la différence entre besoin et Désir. Dans le besoin, je puis mordre sur le réel et me satisfaire, assimiler l'autre. Dans le Désir, pas de morsure sur l'être, pas de satiété, mais avenir sans jalons devant moi.

Le plus terrible c'est que je vais mourir seul, tu ne seras pas là pour me rassurer, me tenir la main, me fermer les yeux.

Peut-être, en fin de compte, n'y a-t-il pas une grande différence entre la lumière et les ténèbres. Le problème, c'est notre façon de voir.

Mon chien, je demanderai au vétérinaire qu'on parte ensemble. Il le piquera afin qu'il meure dans mes bras. Je préfère ça plutôt que savoir qu'il se laissera mourir sur ma tombe avec tant de souffrances.

Pour vivre ensemble, il faut une brassée d'amour et une pincée d'humour.

Nous devons envisager en face le fait que la société est fondée sur l'intolérance.

Si Amélie préfère vivre dans le rêve et rester une jeune fille introvertie, c'est son droit. Car rater sa vie est un droit inaliénable.

Croyons-nous pour autant que l'anarchisme triomphera comme force révolutionnaire et bâtira la société rêvée par Proudhon et ses disciples ? Non. Nous sommes plus près de croire avec Rudigès que la vocation de l'anarchisme est à la fois plus profonde [...] ► Lire la suite

J'ai découvert qu'il y a une grande différence entre vouloir mourir et ne pas vouloir vivre. Lorsque vous voulez mourir, vous avez au moins un objectif. Lorsque vous ne voulez pas vivre, vous êtes vraiment vide.

L'insécurité vient de la société elle-même : c'est elle qui produit de la violence, c'est donc sur elle qu'il faut agir.

Vivre dans un état constant de gratitude, c'est vivre dans la joie. Même les défis et les épreuves ne vous empêchent pas de ressentir de la joie lorsque vous êtes dans un état de crainte et de gratitude pour tout dans la vie. En fait, ils ne servent qu'à approfondir votre joie.

Partir, c'est mourir un peu ; C'est mourir à ce qu'on aime : On laisse un peu de soi-même En toute heure et dans tout lieu.

La différence de l'infidélité dans les deux sexes est si réelle qu'une femme passionnée peut pardonner une infidélité, ce qui est impossible à un homme.

Et a-t-on le droit de dire que le Coran est ­- aussi - un livre de haine ? Oui. Un livre dont les versets dits "fulminants" sont autant d'incita­tions à la haine. Et singulièrement, à cette variété de la haine [...] ► Lire la suite

La chose la plus importante est de vivre une vie fabuleuse. Tant qu'elle est fabuleuse, je m'en fiche de combien elle dure.

Même si je ne regrette pas ce que j'ai fait, je préférerais que ma fille prenne le temps d'apprendre, et, surtout, de vivre son enfance.

Sans la différence entre les hommes, l'identité de chacun disparaîtrait. C'est l'étincelle divine en chacun qu'il faut préserver.

Ce qui est bien dans le métier d'acteur, c'est qu'on peut vivre dans la peau d'un autre sans avoir à en payer le prix.

L'argent et la télé sont deux fléaux de la société actuelle. Il n'y a plus de dialogue.

Qui veut vivre à petit bruit, sans soubresauts, sans péril et sans émotion, doit renoncer à l'amour. Il ne doit cultiver que les navets de l'amitié paisible, et le pot au feu de l'affection calme.

L'Italie est un pays prospère. Nous constatons que la consommation n'a pas baissé, que les restaurants sont pleins, que tous les avions vers l'Italie sont remplis, que les zones de vacances sont prises d'assaut lors des longs week-ends. Je ne [...] ► Lire la suite

Mûrir, mourir ; c'est presque le même mot.

La différence entre trahison et patriotisme n'est qu'une question de dates.

J'ai reconnu à mon âme qu'on était peu sincères, que vivre dans l'apparence, c'était beaucoup d'galères.

Les mouvements totalitaires avaient moins besoin de l'absence de structure d'une société de masse, que des conditions spécifiques d'une masse atomisée.

Chaque jour que je passe est un vrai cauchemar pour réussir à vivre sans toi.

On a beau dire : mais quand il reste tant de vie, pourquoi devrait-on mourir ?

Chaque être humain est unique, il a ses propres qualités, ses instincts, ses formes de plaisir. Cependant la société impose une manière d'agir collective, et les gens ne cessent de se demander pourquoi ils doivent se comporter ainsi.

On ne doit pas nous voler notre propre mort, car elle fait partie de notre vie, il est donc important de vivre aussi ce moment-là.

Quand une société ne peut pas enseigner, c'est que cette société ne peut pas s'enseigner.