Citation de Jackie Berroyer sur Bien, Mal et Besoin

En politique le choix est rarement entre le bien et le mal, mais entre le pire et le moindre mal.

Il faut bien que je les suive, puisque je suis leur chef.

Il faut bien rire de la mort qui se moque bien de nous enlever la vie.

Voulez-vous qu'on croie du bien de vous ? N'en dites point !

Si le théâtre est bien le laboratoire des gestes et des paroles de la société, il est à la fois le conservateur des formes anciennes de l'expression et l'adversaire des traditions.

Ce qui est bien avec les guerres civiles, c'est qu'on peut rentrer manger à la maison.

C'est bien une habitude de l'homme que de mettre de la pensée là où la nature avait jeté du hasard.

Quand je vous aurai bien répété que la vie est un enfant qu'il faut bercer jusqu'à ce qu'il s'endorme, j'aurai dit tout ce que je sais.

Si l'administration militaire était bien faite, il n'y aurait pas de soldat inconnu.

Voulez-vous que verté vous die?
II n'est jouer qu'en maladie,
Lettre vraie qu'en tragédie,

Lâche homme que chevalereux,
Orrible son que mélodie,
Ne bien conseillé qu'amoureux.

C'est bien qu'en démocratie chacun veuille jouer sa partition.

Peu de choses définissent un homme aussi bien que son appartenance à une génération. Et peu de choses définissent aussi bien une génération que la continuité de quelques idées dans le temps.

La bienfaisance est bien plutôt un vice de l'orgueil qu'une véritable vertu de l'âme.

La noblesse n'est pas de rigueur pour entrer à l'Académie ; l'ignorance, bien prouvée, suffit.

Le travail c'est bien une maladie, puisqu'il y a une médecine du travail !

Un collectionneur passionné peut très bien se nourrir de mouscaille dans un resco... être excessivement radin, sauf en ce qui concerne son dada. Ce qu'il m'argumente !

L'essence de l'enfance, bien sûr, est le jeu.

Ce qui est rassurant, c'est qu'un jour ou l'autre, l'épidémie (covid19) va s'arrêter. Donc, on arrêtera de porter des masques. Ça, c'est une certitude.

L'homme élégant, c'est celui qui vous quitte bien habillé.

J'ai un ami qui est xénophobe. Il déteste à tel point les étrangers que lorsqu'il va dans leur pays, il ne peut pas se supporter !

Il faut bien voir enfin qu'on n'aime que dans l'éternité, c'est pourquoi il faut prendre soin de se conduire en toute chose comme si ce qu'on fait devait être éternel.

Le changement climatique ne s'en va pas. Cela ne fera que devenir plus extrême et plus dangereux avec le temps. Il n'y a pas à s'en cacher. Oui, ceux qui vivent dans la pauvreté aujourd'hui seront les premiers et les plus durement touchés, mais nous allons tous le ressentir et le voir.

On peut bien ouvrir et lire nos lettres. On n'y trouvera que des exemples de droiture et le dégoût des combines.

Tout comme il y a deux versions à chaque histoire, il y a deux versions à chaque personne. Une version que nous révélons au monde et l'autre que nous gardons cachée... Une dualité gouvernée par l'équilibre de la lumière et [...] ► Lire la suite

Comment savoir si nous sommes patients, généreux, compréhensifs, partiaux et encore bien des choses, si nous ne sommes pas mis à l'épreuve ?

Il est vrai aussi qu'on doit s'habituer, comme les médecins avec la souffrance, les magistrats avec le crime... l'accoutumance, tout s'aplanit, même les agréments on les trouve trop naturels, on ne se méfie plus des retours de trique... les peuples aussi bien que les individus !

Tout auteur dramatique digne de ce nom nous met sous le nez l'horreur et la grâce d'exister.

Elle pouvait indiquer un envoûteur qui, par image de cire bien travaillée, aiguilles plantées et conjurations prononcées, ferait oeuvre nocive sur Mahaut.

- Il a peut être plongé exprès ?

- Oui, il s'est payé un coup de blues alors il a sauté et s'est vautré la tête la première. Le coup lui a fait du bien, il se remet debout, il prend sa bagnole et il va faire un tour peinard...

Tout s'en va comme la fumée, L'espérance et la renommée.