Citation de Montesquieu sur Liberté, Droit et Loi

Le pouvoir est une forme de folie. Certaines personnes sont prêtes à tout pour l'obtenir.

Approcher Autrui, c'est encore poursuivre ce qui déjà est présent, chercher encore ce que l'on a trouvé, ne pas pouvoir être quitte envers le prochain. Comme caresser. La caresse est l'unité de l'approche et de la proximité.

Il faut faire vite ce qui ne presse pas pour pouvoir faire lentement ce qui presse.

Par elle-même la situation du migrant le contraint à déployer sont pouvoir d'adaptation, à valoriser ses talents, ses ressources mentales, son courage. Le migrant est un entreprenant-né, un entreprenant obligé, un innovateur qui doit justifier sa nouvelle place au soleil.

Nous vivons dans un temps, où, si quelques-uns trouvent les galères à moitié chemin du pouvoir et de la fortune, il en est d'autres qui trouvent la fortune et le pouvoir à moitié chemin des galères.

Je suis le dieu le plus puissant des dieux, Absolu sur la terre, absolu dans les cieux ; Dans les eaux, dans les airs, mon pouvoir est suprême : En un mot, je suis l'Amour même.

C'est déjà assez triste dans la vie de se passer de quelque chose qu'on aimerait avoir. Mais, malheur du sort, ce qui m'enrage, c'est de ne pouvoir donner aux autres ce que vous voudriez qu'ils aient.

Il faut restaurer les valeurs républicaines et familiales de respect, de tolérance et d'amour pour autrui.

Régime oblige : le pouvoir absolu a des raisons que la République ne connaît pas.

Il y a des livres qu'on voudrait pouvoir envoyer à ceux qui sont morts.

J'admire les gens qui divorcent à 70 ans. C'est la preuve d'une liberté magnifique !

Respecter une femme, c'est pouvoir envisager l'amitié avec elle ; ce qui n'exclut pas le jeu de la séduction, et même, dans certains cas, le désir et l'amour.

Si le chien est le plus méprisé des animaux, c'est que l'homme se connaît trop bien pour pouvoir apprécier un compagnon qui lui est si fidèle.

L'aristocratie n'existant plus, l'étrange pouvoir qui reste paradoxalement le sien, c'est le privilège de mesurer la hiérarchie des illusions.

La chaîne des menottes est en acier trempé. Il te faudrait dix minutes pour la scier avec ça. Ou bien, avec un peu de chance, tu dois pouvoir te trancher la cheville en cinq minutes.

La loi ne vaut qu'autant qu'elle est appliquée.

Le droit de se tromper, d'être stupide ou fou devrait être sacré.

De voir les autres égoïstes, cela nous stupéfie, comme si nous seuls avions le droit de l'être et l'ardeur de vivre.

La dignité de l'homme consiste à prendre en main son devenir, à choisir.

Les chemins qui mènent à la liberté et à la dignité humaine passent par bien des abîmes et ne sauraient donc mener d'un seul coup aux sommets.

Shakespeare a dit "Etre ou ne pas être", c'est la question", et le chef des nègres a dit "non, c'est pas bon, nous n'en sommes plus à nous demander si nous sommes ou ne sommes pas, nous avons déjà résolu la question puisque nous sommes au pouvoir depuis vingt-trois ans".

La force juridique du principe de dignité humaine est la plus élevée qui soit, puisque ce principe revêt une valeur constitutionnelle.

L'âme de la cité n'est rien d'autre que la constitution, qui a le même pouvoir que dans le corps la pensée.

Nous devons affronter les forces de la haine avec le pouvoir de l'amour.

Une loi mauvaise, on la change !

Mon pied droit est jaloux de mon pied gauche. Quand l'un avance, l'autre veut le dépasser. Et moi, comme un imbécile, je marche !

La liberté intérieure permet de savourer la simplicité limpide du moment présent, libre du passé et affranchi du futur.

Connaître, c'est se libérer. Mais il n'y a de liberté qu'en amour. Et aimer se dit de Dieu, non pas de l'homme.

Un conseil, pour moins souffrir : ôte-toi de la cervelle que tu as le pouvoir de gouverner ta vie. Laisse aux autres cette illusion.

Les chaussures ne sont qu'un piédestal. Ce qui m'intéresse, c'est le pouvoir de la femme qui les porte.