Citation de Matt Dillon sur Comédie, Jouer et Acteurs

Il y a deux moments qui sont pareils pour moi : lorsque je suis en scène et lorsque je suis dans un lit avec un homme amoureux.

La vie n'est pas une comédie romantique, mais pourquoi ne pourrait-elle pas lui ressemble un peu ?
Un nouvel être apparaît dans votre vie et subitement, il la remplit totalement.

Ce monde est une comédie pour ceux qui pensent, une tragédie pour ceux qui sentent.

Je pense que peu importe à quel point vous ne vous aimez pas ou le drame de votre vie, vous pouvez toujours y trouver de la comédie.

J'aime vraiment travailler avec des acteurs plus jeunes. Je me sens juste comme si nous étions tous des pairs.

La différence entre se mettre en scène soi-même et être dirigé par quelqu'un d'autre, c'est celle qu'il y a entre se masturber et faire l'amour.

La scène n'est là que pour révéler le spectacle à lui-même.

L'histoire se joue d'abord comme un drame et se répète comme une comédie.

Plus la situation est mythique, moins on accepte que les personnages de nos romans publics s'en tirent sans mystère.

Je veux aspirer à quelque chose comme Denzel Washington, qui essaie de trouver des scénarios écrits pour des acteurs blancs, ou Jodie Foster, qui lit des scénarios pour des acteurs masculins.

Je n'ai pas le sens de la mise en scène. J'ai seulement le don de la comédie et ça m'a suffit.

Les thèmes de la tragédie sont universels, alors que ceux de la comédie sont plus ancrés dans les cultures.

Au contraire des autres arts, l'oeuvre chorégraphique n'existe jamais comme objet. La scène est l'endroit de toutes les rigueurs et toutes les anarchies, et la danse, une expérience qui concerne notre humanité.

Je ne connais pas un réalisateur qui ose s'attaquer aux problèmes contemporains. Pourtant, vous avez la matière.

Berlioz n'eut jamais de chance. Il souffrit de l'insuffisance des orchestres et des intelligences de son temps. Voici aujourd'hui que le génie inventif de M. Gunzbourg, avec l'appui de la Société des Grandes Auditions Musicales de France, se charge de revoir et d'augmenter sa gloire posthume en adaptant à la scène la Damnation de Faust.

Écrire une chanson dans la solitude, puis finalement elle arrive sur scène avec le public, on touche le rêve.

Le drame des dictatures, c'est qu'elles donnent toute licence aux malades mentaux, aux mégalomanes, aux méchants, aux malhonnêtes gens d'aller jusqu'au bout de leur folie, de leur mégalomanie, de leur méchanceté, de leur malhonnêteté.

Il y a trois choses qu'une femme est capable de réaliser avec rien : un chapeau, une salade et une scène de ménage.

Si les Anglais hésitent à aller voir une comédie le samedi soir, c'est qu'ils ont peur d'en rire à l'office du dimanche.

Les amants ne sont jamais également assortis, vous ne croyez pas ?
L'un des deux fait toujours de l'ombre sur l'autre et l'empêche de grandir, de sorte que celui qui se sent étouffé cherche désespérément un moyen de s'évader, pour être libre de poursuivre sa croissance. N'est-ce pas là le drame essentiel de l'amour ?

Aujourd'hui, je me rends compte que la scène a été le plus important dans ma vie.

J'ai chanté plusieurs chansons en anglais mais j'avais mis un pupitre sur scène et je lisais ma chanson.

Je n'ai pas aimé la pièce mais je l'ai vue dans de mauvaises conditions : le rideau était levé et, de plus, les acteurs articulaient parfaitement.

J'aime jouer des personnages qui ont des fêlures... c'est par là qu'entre la lumière.

Les metteurs en scène passent. Les auteurs restent.

Aux acteurs il faut un grand rôle avec de toutes petites répliques.

Les acteurs sont des gens très fragiles.

La comédie critique, la tragédie exalte. C'est ce qui fait sans doute la supériorité de l'art tragique sur l'art comique.

L'effet miroir est vécu par la personne qui désire toujours connaître comment il est perçu par les autres. Au lieu de se montrer critique, il émet des critiques, et se sent exposé à la critique comme sur une scène de théâtre.

Les gens pensent que les acteurs ont des vies si glamour, mais la vérité est que les acteurs vont là où personne ne veut aller.