Proverbe Ashanti sur Peur, Chemin et Toi

- On croit que quand on s'arrête le monde s'arrête... Il continu pourtant de tourner. Les gens peuvent faire des interventions mieux que vous l'auriez fait, les générations suivantes arrivent peu à peu et... On a toujours peur d'être oublié. [...] ► Lire la suite

L'amour et la peur ne connaissent pas d'issue.

Les sauvages ne s'avisent point de se tuer par dégoût de la vie ; c'est un raffinement de gens d'esprit.

Le Ciel sera l'épanouissement de toutes les beautés, la vie nous y conduit par un chemin dont nous ignorons la longueur, mais pourquoi m'attrister d'avancer sur cette route puisque la lumière est au bout.

On ne devrait jamais confondre sentiment et raisonnement.

Tous les extrêmes du sentiment sont alliés à la folie.

J'fais semblant d'écouter personne, mais c'est seulement parce que j'ai peur de c'qu'ils disent de moi.

Il faut que les gens de bonne volonté se lèvent et ne laissent pas prévaloir leurs intérêts égoïstes (...) Il faut suivre un chemin honnête et généreux.

La morale, c'est ce qui reste de la peur quand on l'a oubliée.

On s'accoutume à tout dans l'abondance, il n'y a guère de dégoût dont elle ne console.

Sur les ailes légères de l'amour j'ai volé par dessus ces murs, des clôture de pierre ne sauraient barrer la route à l'amour.

N'ayez pas peur du ridicule, soyez-en le maître.

La vie humaine n'est point une lutte où des rivaux se disputent des prix ; c'est un voyage que des frères font en commun, et où chacun employant ses forces pour le bien de tous, en est récompensé par les [...] ► Lire la suite

Chatrouiller : avoir une peur déraisonnable des guilis.

Le recit est un chemin qu'il faut suivre pour se perdre.

La culpabilité est un sentiment irrationnel, le sentiment d'être responsable de tout le mal du monde. Le remords, lui exprime une nostalgie, le regret de ce qui aurait pu être et n'a pas été.

N'oubliez pas de célébrer les jalons alors que vous vous préparez pour la route à venir.

Le sentiment de honte est à la base de notre civilisation occidentale.

Les humains sont le résultat d'un chemin évolutif d'une exquise complexité, plein de faux départs, d'impasses et d'accidents statistiques.

Quelle audace, vouloir analyser les hommes, quand on n'ose pas s'analyser soi-même de peur de découvrir que ce qui nous manque est à jamais inaccessible.

Une fille qui, par le peu qu'elle laisse voir à un homme, le fait devenir curieux de voir le reste, a déjà fait trois quarts du chemin qu'il lui faut faire pour le rendre amoureux.

La science va vite et droit en son chemin ; mais les représentations collectives ne suivent pas, elles sont des siècles en arrière, maintenues stagnantes dans l'erreur par le pouvoir, la grande presse et les valeurs d'ordre.

J'ai eu des hauts et des bas, des doutes et des certitudes, mais je n'ai pas peur d'aller vers mes 80 ans !

Limitez votre talent de peur qu'il n'aille là où la vertu ne guide pas.

J'aime le sentiment d'être dominé. Cela me rend réellement convaincu par opposition à un défi.

Le secret du pouvoir ? Un vagin puissant et confiant. Les hommes ont peur des vagins.

J'ai peur quand ça se tait. Quand ça ne parle que dedans. L'intérieur est plus impitoyable que le dehors.

Un grand nombre d'entre nous avons développé le sentiment que les architectes ont tendance à concevoir des maisons pour l'approbation de leurs collègues architectes et critiques, et non pour les gens qui y vivent dedans.

Le sentiment qui ne s'accompagne pas de discernement est une boisson fadasse, c'est un fait, mais le discernement que ne tempère pas le sentiment constitue une bouchée trop amère et trop sèche pour que l'homme parvienne à l'avaler.

C'est une étrange fatalité que nous devions éprouver tant de peur et de doute pour une si petite chose... une si petite chose...