Citation d'Abbé Guillaume-Thomas Raynal sur Amour, Mort et Plaît

A la mort d'un ancien, on est comme sur une écluse : on change de niveau.

Sais-tu ce que j'aime le plus en ce monde ? C'est toi. Toi qui depuis ce premier baiser échangé a transformé ma vie en un soleil ! Être auprès de toi à cet instant pour te câliner dans mes bras, [...] ► Lire la suite

La destruction, la violence, la haine ont pris tous les masques. Les voisins de la veille vous égorgent. Les amis de toujours vous poignardent. Les uns comme les autres n'ont plus ni compassion, ni réflexion, ni amour En qui, à quoi croire désormais ?

Si je manque de conscience, alors pourquoi devrais-je me soucier de ce qui m'arrive quand je suis mort ?

La mort du jardinier n'est rien qui lèse un arbre. Mais si tu menaces l'arbre, alors meurt deux fois le jardinier.

Oui mes frères. Hier encore, nous étions chrétiens, musulmans, juifs, bouddhistes, israéliens... et nous savons bien aujourd'hui que cette adoration du tout nous a conduit à rien, rien, rien du tout.

Tout grand amour a en soi quelque chose d'humiliant et de risible.

C'est bien la pire peine de ne savoir pourquoi, sans amour et sans haine, mon coeur a tant de peine !

La zone la plus érotique est l'imagination.

On a calculé que les fêtes de Noël provoquent chaque année la mort de dix mille fois plus de jeunes sapins en bonne santé que ne le font tous les incendies de forêt du mois d'août.

Je me noierai dans tes étreintes, dans tes vallées, tes sillons
Tes merveilleux labyrinthes
Et tes mystérieuses plaintes
À chaque amour que nous ferons
Le rouge de ta bouche peinte enflammera l'horizon
Jusqu'aux étoiles presque éteintes
On y trouvera nos empreintes
Et de là, nous nous perdrons.

La bonté est un amour gratuit.

Ainsi mon coeur. Ah ! Si, comme aux soirs de jadis,
Tu plongeais dans mes yeux tes yeux de paradis,
Va, tu n'y trouverais nul grand air ridicule
Mais de l'amour, mais un amour de crépuscule
Pâle et voilé, couché sur un cher souvenir,
Qu'enivre, tristement, la douceur de mourir.

De ton affection je ne peux me surpasser
Oh! lumière qui jaillit dans mes jours et mes nuits
De ton amour est née ma personnalité
Oh! Maman chérie je te dois un grand merci
Toi qui t'es toujours privée pour me donner
Toi qui a [...] ► Lire la suite

La mort et la sagesse viennent à pas de tortue.

Si certaines personnes mouraient et que d'autres ne mouraient pas, la mort serait une terrible affliction.

Coucou, papa, t'es là ?
C'est vrai que tu me manques. Je pourrais me confier si t'étais là.
Coucou, papa, on aurait fait du cerf-volant. Toute la vie. T'aurais tout su faire, j'aurais été ébloui. T'aurais rien su faire, j'aurais aimé ton [...] ► Lire la suite

Nous sommes composés de deux idéaux opposés: Amour et Peur. Choisissez-en un et vivez.

Que c'est donc vite fait, la mort des autres.

La mort peut bien t'oublier un jour, mais elle ne t'oubliera pas le lendemain...

C'est le bon côté de la mort ; quand on n'a rien à perdre, on est prêt à courir tous les risques.

L'interminable débat sur la peine de mort n'est pas juste à l'égard de celui qui prémédite un meurtre.

N'attendez pas de chute à cette histoire, il n'y en a pas. Il est mort et plus rien n'a de sens pour moi. J'envisage l'avenir comme une éternité de souffrances et d'ennui. Ma lâcheté m'empêche de mettre fin à mes [...] ► Lire la suite

Le baiser sur les lèvres a été inventé par les amants pour ne pas dire de bêtises.

Je suis mort en même temps que ma fille, tout le monde le sait, je le dis sans pathos.

J'étais aussi mort avant de naître que je le serai après avoir vécu. J'ai donc de l'abolition de la personnalité une interminable habitude.

Déjà dans des milliers de familles règnent la mort et la désolation, les lamentations et la misère. Le sang d'innombrables êtres humains, même non combattants, élève un poignant cri de douleur, spécialement sur une nation bien-aimée, la Pologne.

La peine de mort remplit une autre fonction que la lutte contre le crime.

La mort est paisible, simple. C'est beaucoup plus difficile de vivre.

Il suffit qu'il n'y ait ni amour ni haine pour que la compréhension apparaisse claire, comme la lumière du jour dans une caverne.