J'embrasse les gens avec mon âme. Je ne les embrasse pas avec ma bouche.
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Cette phrase possède 15 mots. Elle est considérée comme 1 citation courte.
Et mon bonheur, à moi, n'est pas de cette vie.
Pourquoi prétendre que je doive choisir ? C'est mon existence qui me choisit, petit à petit.
Je suis prêt à rencontrer mon Créateur. Quant à savoir s'il est préparé à l'épreuve de me voir, c'est une autre histoire.
L'indifférence opère puissamment à travers l'histoire. Elle opère de manière passive mais elle opère. C'est la fatalité ; c'est ce sur quoi on ne peut pas compter ; c'est ce qui bouleverse les programmes, qui renverse les plans les mieux construits ; c'est la manière brute qui se rebelle contre une intelligence et vient l'étrangler.
Je n'appartiens à personne ; quand la pensée veut être libre, le corps doit l'être aussi.
Je ne sens plus rien, l'amour, l'ardent amour a tout dévoré; il a réuni en un seul point toutes les parties sensibles de mon être, et il y a placé ton image en mon coeur : c'est là le temple [...] ► Lire la suite
Le sexe masculin est ce qu'il y a de plus léger au monde, une simple pensée le soulève.
Ma foi m'aide à comprendre que les circonstances ne dictent pas mon bonheur, ma paix intérieure.
Les hommes sont extrêmement portés à espérer et à craindre, et une religion qui n'aurait ni enfer ni paradis ne saurait guère leur plaire.
Pour vivre à deux, il faut une énorme intelligence et une énorme complicité.
- Merci grand-mère. - Pourquoi est-ce que dans ta bouche ce mot résonne comme une insulte ?
- Lucas ! J'ai plus cours, si Waity vous laisse finir de bonne heure on pourrais aller au ciné ? - À quoi tu joues Peyton ? - L'espace d'une seconde je voulais faire comme si on avait 17 ans et que rien [...] ► Lire la suite
Il y a tellement de choses que je voudrais faire, je voudrais prendre l'avion pendant des heures et ne pas stresser de ne pas pouvoir joindre mon médecin. Ouais, partir en partir en voyage avec mon sac à dos et [...] ► Lire la suite
Quand je ne parle pas, je ne pense pas... Nous sommes tous ainsi dans mon pays... obligés de lancer les mots devant nous, en rabatteurs, pour faire lever les idées.
A mesure que les désirs et les peurs perdent leur emprise, vous commencez à entrevoir ce que peut être le silence de la méditation. Une pensée vient, vous la voyez, elle ne vous emporte pas. Vous sentez que vous retournez au repos, au calme, à la non-manifestation, à l'essentiel.
Il faut vivre en intelligence avec le système, mais en révolte contre ses conséquences, il faut vivre avec l'idée que nous avons survécu au pire.
Dois-je demander comment finira ce monde, ou comment a débuté cet enfer ?
Dans mes fluctuations les plus extrêmes, je n'ai jamais été athée dans le sens de nier l'existence d'un Dieu... Je pense qu'en général (et de plus en plus à mesure que je vieillis), mais pas toujours, qu'un agnostique serait la description la plus correcte de mon état d'esprit.
Or il n'est pas de grande pensée qui ne puisse se résoudre, pour la commodité de la circulation et pour le besoin des applications vulgaires, en une certaine quantité d'idées tout simplement utiles.
J'honorerai Noël dans mon coeur et j'essaierai de le garder toute l'année
Il dit je ne parle pas et mon coeur brûleJe voudrais traverser ce paysMes yeux sont plein de guerre, ma bouche est sècheEt je n'ai pas d'amisIl dit je viens de la mine, dans la villeJe cherche le pardon et [...] ► Lire la suite
A l'issue de Chabbat, j'ai appris avec effroi les sanglantes attaques perpétrées hier soir à Paris. J'adresse mes sincères condoléances aux proches des victimes et prie pour le complet rétablissement des blessés. Horrifié, je tiens à exprimer tout mon soutien [...] ► Lire la suite
Entre dieu et la société, il faut choisir. Ce choix me laisse assez indifférent, car je ne vois dans la divinité que la société transfigurée et pensée symboliquement.
J'éprouve un sentiment très aigu d'être au mondeEn adéquation presque spinoziste avec mon environnementLe Grand Tout qu'est l'usine
La femme est une pensée, la plus forte de la nature, mais c'est une pensée dansante.
Dans mon appétit de lecture il y a un besoin d'évasion. Je suis enserré dans une vie pleine de petits devoirs ennuyeux, je cherche à m'en échapper par des inattentions, des oublis et notamment celui du temps qui s'écoule.
- On sert la main de la déléguée en signe de respect. - Lorsque que la déléguée aura obtenu mon respect, alors je lui serrai la main, pétasse ! - Pardon ?! - C'est bon je te pardonne.
Je craignais plus que tout au monde de décevoir mon père.
- Voulez-vous me prendre en photo avec mon chapeau ? - Ce serait plus facile avec un appareil photo !
Le temps et mon humeur ont peu de liaison ; j'ai mes brouillards et mon beau temps au-dedans de moi.