Citation d'Helen Fielding sur Autres, Mal et Car

Il y a quelque chose de beau dans toutes les cicatrices de la nature. Une cicatrice signifie le mal que le mal n'est plus là, que la plaie est refermée et guérie.

Si nous envoyions au fond de la mer toute la médecine que nous utilisons, ce serait tant mieux pour nous et tant pis pour les poissons.

Ce que l'oeil n'a pas vu, N'a pas fait mal au coeur.

Un homme doit être assez grand pour admettre ses erreurs, assez intelligent pour apprendre de celles-ci et assez fort pour les corriger.

Si ton ennemi est dans l'eau jusqu'à la ceinture, tends-lui la main ; si l'eau lui monte aux épaules, appuie sur sa tête.

Cela peut nous offenser d'entendre nos propres pensées exprimées par les autres : nous ne sommes pas assez sûrs de leur âme.

La véritable charité est bienveillante, patiente, ne s'irrite pas, excuse tout, croit tout, supporte tout, ne soupçonne pas le mal !

La plus grande faiblesse de la pensée contemporaine me paraît résider dans la surestimation extravagante du connu par rapport à ce qui reste à connaître.

En amour, il y a une fidélité laborieuse et une infidélité laborieuse ; la première est assez triste, la seconde sinistre.

Retiens cet enseignement : un coup annule parfois le précédent.

Je me soucie assez peu de faire épeler l'alphabet de l'amour à de petites niaises. Je préfère les femmes qui lisent couramment, on est plus tôt arrivé à la fin du chapitre...

Il arrive un jour, un jour où t'es debout quelque part, ou tu te rends compte que tu ne veux être personne de ton entourage. Tu veux pas être ce putain de looser à qui t'a démonté la tête, ni [...] ► Lire la suite

Il y en a toujours assez pour les nécessiteux, il n'y en a jamais assez pour les gourmands.

Aimez votre ennemi ; cela ruinera sa réputation.

Il n'y a que deux sortes de guerre justes : les unes qui se font pour repousser un ennemi qui attaque ; les autres, pour secourir un allié qui est attaqué.

Il n'y a d'universel que ce qui est assez bête pour l'être.

- Qu'est ce qui t'arrives aujourd'hui ?

- Qu'est ce qui m'arrive ? Ce qui m'arrive c'est que j'ai des sentiments pour toi.

- Quoi ?

- Pourquoi tu crois que je vais chez Granny tout les matins à 7h15 ? C'est pour te [...] ► Lire la suite

La reconnaissance est une vertu prospective, plutôt que rétrospective.

Le genou à terre le regard vers les cieux ;
Aujourd'hui tout va mal demain tout ira mieux.

Le vrai mal de la vieillesse n'est pas l'affaiblissement du corps, c'est l'indifférence de l'âme.

Vous vous êtes déjà retrouvé dans une situation où vous saviez exactement ce qui allait se passer ? Mais vous avez foncé tête baissée. Et quand ce que vous craignez le plus a fini par arriver, vous avez eu envie de [...] ► Lire la suite

Un coeur né pour servir sait mal comme on commande.

Tout ce qui ne fait pas de mal fait du bien.

Au cours de ma vie, j'ai perdu des morceaux de mon coeur ça et là. Maintenant il ne m'en reste presque plus assez pour rester en vie. Mais bon, je me force de sourire, sachant que mon ambition a bien [...] ► Lire la suite

Il vaut mieux n'avoir pas tout à fait assez de ce qui est nécessaire que de ne jamais pouvoir avoir trop de ce qui est inutile.

Ça c'est pas moi, tout ce système sur la popularité, le conformiste, c'est vraiment tout ce que je déteste. Ces derniers temps j'ai voulu rentrer dans le moule, j'ai fait de gros efforts. Regardez moi ! (...) Et si vous saviez [...] ► Lire la suite

Il n'y a pas de signe certain de la vertu : tout est confusion dans la nature humaine.

En conséquence, comme le mal principal est pour [Bakounine] l'État, il faudrait avant tout supprimer l'État et le capital s'en irait alors de lui-même au diable; À l'opposé nous disons : Abolissez le capital, concentration des moyens de production entre quelques mains, et l'État tombera de lui-même.

Le coup fait le cocu et le bruit fait les cornes.

Bella  : J'attendrai les examens de fin d'année pour que Charlie souffre le moins possible. Edward je veux que ça soit toi qui le fasse. [Il freine brusquement]

Edward  : Jacob veut te parler.

Jacob  : Alors ils ne [...] ► Lire la suite