Citation de Robert De Niro sur Vie, Construire et Détruire

La jeunesse est un sport que l'on peut - que dis-je : que l'on doit pratiquer toute sa vie.

La vie se joue souvent en deux manches: dans un premier temps, elle t'endort en te faisait croire que tu gères, et sur la deuxième partie, quand elle te voit détendu et désarmé, elle repasse les plats et te défonce.

La relation entre la vie et la mort est la même que celle qui existe entre le silence et la musique - le silence précède la musique et lui succède.

Il faut revenir au théâtre pour redevenir attentif à notre destin dans la langue et saisir le grand mouvement de nos vies, que la scène restitue et rend visible.

Lorsque arrive le moment ou la vie est tout ce qui vous reste, vous vous rendrez compte que les possessions matérielles vous importent peu.

On a beaucoup discuté la question de savoir si la femme n'était pas un être radicalement débile. Sa débilité n'est qu'apparente ; elle a, en effet, de meilleurs principes de vie que l'homme.

La vie nous console de mourir, et la mort de vivre.

La vie possède un secret, celui du constant étonnement.

Attention à l'écart - c'est la distance entre la vie que vous rêvez et la vie telle qu'elle est.

La poésie est à la vie ce qu'est le feu au bois. Elle en émane et la transforme.

C'est avec des principes qu'on arrive à s'organiser une existence utile et bien remplie.

Le sage regarde la vie et la mort comme le matin et le soir.

Pour se protéger d'une épée, il faut un bouclier. Or construire un bouclier contre l'arme nucléaire s'est révélé jusqu'ici impossible.

Sacrilège, la vie l'est par définition.

Le bonheur est la plus grande des conquêtes, celle qu'on fait contre le destin qui nous est imposé.

On tente de se distraire, on fait la fête, on cherche l'amour, on croit le trouver, puis on retombe. De haut. On tente de jouer avec la vie pour se faire croire qu'on la maîtrise. On roule trop vite, on [...] ► Lire la suite

O la belle chose ! Pouvoir achever sa vie avant sa mort, tellement qu'il n'y ait plus rien à faire qu'à mourir.

Combien de gens mènent une vie de chien qui nous paraîtraient plus estimables s'ils devenaient enragés.

Pris dans un tourbillon de hâte et d'agressivité, nous vivons notre vie dans le conflit et l'angoisse ; nous sommes emportés par la compétition, l'avidité, le désir de possession et l'ambition. Nous nous chargeons sans répit d'occupations et d'activités superflues.

Le destin du poète est de finir mangé par les vers.

Ce n'est ni sur de la plume ni sous des couvertures qu'on parvient à la gloire. Qui sans elle conserve sa vie laisse sur la terre pareil vestige de soi que fumée dans l'air et écume dans l'eau.

L'espérance, c'est croire que la vie a un sens.

Tout être au plein de sa vie s'amuse à concevoir l'idée d'un tableau qui rassemblerait son expérience. Nous avons tant mémorisé sentiments, impressions, passions, étonnements, colères, rencontres, que nous souhaiterions parfois rapprocher les pièces du puzzle. Georges Perec s'y est essayé - a réussi - dans La Vie mode d'emploi.

La jeunesse est une belle chose, une force puissante - aussi longtemps qu'on n'y pense pas.

On voit s'ériger des générations d'enfants qui faute d'un éveil à la vie sont réduits à n'être que des consommateurs insatiables, blasés et tristes.

N'est-il pas étonnant que l'art jaillisse de la vie et, le plus souvent, se retourne contre elle.

L'être stoïque sait que la vie moderne n'est qu'une série de moments pendant lesquels on attend de passer à la caisse.

Il y a des moments où gouverner les hommes, c'est sauver leur liberté.

Ils s'efforcent de contrôler les processus technologiques et juridiques comme un moyen de promouvoir leurs propres intérêts. Alors quand nous n'avons aucun contrôle sur nos technologies, ces gens tentent de s'en servir à leurs fins. Cette formule peut conduire à des choses franchement effrayantes.

Entre les désirs et leurs réalisations s'écoule toute la vie humaine.