Citation de Virginia Woolf sur Homme, Femmes et Pouvoir

- Toute ma vie est un labyrinthe, je fais toujours des hauts et des bas ! Tiens, le mois dernier je bouffais des nouilles pour m'en sortir et demain des femmes rempliront mes poches avec des diamants ! Aujourd'hui je suis l'idole [...] ► Lire la suite

La pauvreté de la vie du corps entraîne celle de l'esprit.

On quitte vite les amis, en fin de compte, c'est moins vrai des femmes que l'on aime. Le plus dur reste la famille, mais, là encore, être rapide est la solution. Sinon, condamnation à perpétuité.

Ce qu'un homme pense de lui-même, voilà ce qui règle ou plutôt indique son destin.

Les traditions - comme les femmes - sont faites pour être à la fois respectées et bousculées.

Rien n'est étranger. On est arbre, fleuve, multiple au familier mystère. Puis peu à peu la pluie s'apaise. Il y a une lumière de cristal. Le corps bouge et le temps se décompte. On est réalité revenue au visible.

J'aime mieux penser aux femmes que je n'ai pas eues qu'aux femmes dont je me suis contenté.

Toute épreuve est nouvelle et toute épreuve trouve un homme nouveau.

Les femmes sont amoureuses et les hommes sont solitaires. Ils se volent mutuellement la solitude et l'amour.

Je me disais : allez il faut pleurer une bonne fois pour toutes. Tarir les formes, presser l'éponge, essorer ce grand corps triste et puis tourner la page, penser à autre chose.

Les femmes ne devraient jamais se passer de boucles d'oreilles.

La seule chose que cet homme ait jamais fait pour cette femme, c'est de lui sortir les glaçons du congélateur.

Au golf, le swing, c'est comme le sexe : vous ne pouvez pas réfléchir à votre façon de faire au moment où vous le faites.

Les femmes constituent la moitié de la société. Notre société restera arriérée et enchaînée si ses femmes ne sont pas libérées, éclairées et éduquées.

La naissance, la beauté, la bonne façon, le raisonnement, le courage, l'instruction, la douceur, la jeunesse, la libéralité et autres qualités semblables, ne sont-elles pas comme les épices et le sel, qui assaisonnent un homme ?

Ils regardent leurs corps. Leurs visages tournés l'un vers l'autre, leurs coudes s'effleurant, ils sont comme un homme et une femme après l'amour, reclus de volupté, au point d'en trouver une nouvelle à ne plus se toucher. Un désir traîne [...] ► Lire la suite

Les femmes, toutes les femmes ont fait leurs valises pour rien une fois dans leur vie. On le fait pour qu'on vous retienne.

Les jeunes femmes sont bombardées d'idéaux de perfection qu'aucun être humain ne peut vraiment atteindre.

Dieu a donné un cerveau et un sexe à l'homme mais pas assez de sang pour irriguer les deux à la fois.

Les cheveux sont la première chose. Et les dents la seconde. Cheveux et dents. Un homme a ces deux choses qu'il a tout.

Des hommes ont l'air de ne s'être mariés que pour empêcher leurs femmes de se marier avec d'autres.

Un homme n'est beau qu'autant qu'il est aimé.

La musique. Serait-elle un fluide mystérieux doué d'ubiquité ou un philtre magique que l'ouïe absorbe pour la dispenser dans toutes les cellules et nous apporter l'évasion.

Méfie-toi des femmes par-devant, des mules par-derrière, et des moines de tous les côtés.

Les amis d'un homme sont ses pôles magnétiques.

Je souris amèrement à me dire qu'aujourd'hui, sur deux pensées, j'en consacre une à ma propre fin, comme s'il fallait tant de façons pour décider ce corps usé à l'inévitable. À cette époque, au contraire, un jeune homme qui aurait [...] ► Lire la suite

La différence entre les femmes et les coïncidences, c'est qu'il y a des coïncidences qui ne trompent pas.

Je préfère les femmes d'amis aux autres : comme ça, on sait à qui on a affaire.

C'est le métier de tout homme de parler de patience à ceux qui se tordent sous le poids de la souffrance ; mais nul n'a la vertu ni le pouvoir d'être si moral, quand il endure lui-même la pareille.

On voit ainsi se manifester à la fois la "rage de lire" des femmes et la réprobation de leurs contemporains masculins. L'adolescente qui s'adonne à la lecture de romans - mais la poésie peut être tout aussi pernicieuse - renie son innocence première et se fabrique un paradis artificiel.