Citation de Massa Makan Diabaté sur Femme, Mère et Homme

Pourquoi épouser une femme pour sa dot ? Les chemises de nuit n'ont pas de poches.

À la différence du rapport de fils-mère, le rapport d'une fille avec sa mère est quelque chose qui peut s'apparenter à la plongée en apnée.

Si remplis de sanguin passé, les mots que j'écris ne me rendront pas ma mère morte.

A chaque femme correspond un séducteur. Son bonheur, ce n'est que de le rencontrer.

La plus extraordinaire femme qu'on ait jamais rencontrée est celle qu'on vient de quitter.

La paternité moderne est fragilisée par le fait que, désormais, la femme peut accéder aux mêmes fonctions que l'homme, tout en mettant les enfants au monde.

Une femme légère ne se mesure pas au poids.

La belle mère ne se souvient pas qu'elle a été un jour une belle-fille.

Fragilité, ton nom est femme !

Prière de laisser chaque femme en partant aussi ignorante que vous auriez désiré la trouver en arrivant.

Chaque fois que votre femme fait une fugue, vous en écrivez une.

Je peux remplacer les choses, mais je ne pourrais jamais remplacer ma femme et mes enfants.

Le papier et la femme sont deux choses blanches qui souffrent tout.

Le corps d'une femme est sa pensée.

La femme est un mets digne des dieux, quand le diable ne l'assaisonne pas.

La décision est l'événement qui provoque, chez l'un des deux chefs de guerre, la résolution de retirer les troupes.

La mode est une fille à qui sa mère veut survivre.

Une femme ivre est une porte ouverte.

Je suis une femme rouge et ardente.

Est-ce l'oeuf le père de la poule ou la poule la mère de l'oeuf ?

Lorsque ma femme me fait un cadeau, j'éprouve deux surprises : d'abord le cadeau et ensuite de le payer.

La femme se rattrape singulièrement, dans la littérature, de la situation, dit-elle, inférieure, qu'elle tient de la société.

- J'ai perdu ma mère ce matin - Elle est morte ? - Non, non, je l'ai perdue. C'est à dire qu'elle était là et pouf... je l'ai perdue !

La femme prétend à la fois au droit de choisir et à l'honneur d'être choisie.

La femme est une forteresse, l'homme est son prisonnier.

Qui se marie à la hâte se repent à loisir.

Défendre le fruit défendu à une femme c'est l'inviter à y mordre.

Les vêtements d'une femme devraient être comme une clôture barbelée : faire ce à quoi ils servent sans gêner la vue.

En art, c'est-à-dire en amour, il faut que l'intelligence suive comme un suiveur suit une femme avec l'idée de l'entretenir.

Les chaussures ne sont qu'un piédestal. Ce qui m'intéresse, c'est le pouvoir de la femme qui les porte.