Citation de Victor Hugo sur Mort, Rien et Chose

Il n'y a rien de plus stable que le changement.

Il n'y a rien de plus terrible qu'un pouvoir illimité dans les mains d'un être borné.

Il n'y a rien d'intéressant à avoir l'air parfait.

La mort est un état de perfection, le seul à la portée d'un mortel.

Le sage n'affirme rien qu'il ne puisse prouver.

La vie est agréable. La mort est paisible. C'est la transition qui est gênante.

Un génie sommeille en moi. Malheureusement il dort tout le temps.

Le dieu qui errait là, au premier matin,
Qu'aurait-il espéré de la parole ?
Il ne fit rien que rassembler des pierres,
Ce sont ces tas qu'on voit, à des carrefours.

Je ne crois pas à la mort sans résurrection. S'ils me tuent, je ressusciterai dans le peuple salvadorien.

Les bons écrivains touchent souvent la vie du doigt. Les médiocres ne font que l'éffleurer. Les mauvais la violent et l'abandonnent aux mouches.

Il n'est aucune si douce consolation en la perte de nos amis que celle que nous apporte la science de n'avoir rien oublié à leur dire, et d'avoir eu avec eux une parfaite et entière communication.

L'humanité serait depuis longtemps heureuse si les hommes mettaient tout leur génie non à réparer leurs bêtises, mais à ne pas les commettre.

Le pluriel ne vaut rien à l'homme Et sitôt qu'on Est plus de quatre On est une bande de cons

Si nous ne pouvons rien sur les événements, nous pouvons les modifier par les manières dont nous les acceptons.

Il n'y a rien pour faire naître l'amitié que de rompre le silence ensemble.

« Il n'y a rien de plus difficile que de faire quelque chose qui ne ressemble à rien. »
Mes enfants ne ressemblent à personne. Moi qui voulais toujours ne pas faire comme les autres, je devrais être content.

Invoquez, priez, ce mois va vite s'écouler - Se cache en lui un trésor qu'il ne faut pour rien manquer - Une nuit qui vaut mille mois, il faut l'a chercher - Une aubaine unique pour tous ensemble le glorifier.

Couple terrible : la vie tremble, la mort rit.

Je connais ma leçon ; je dois dire : « J'existe ».
Même si le pollen a remplacé mon coeur.
Qui craint la mort ? La mort ne saurait être triste ;
Grâce à elle ma peau se couvrira de fleurs.

En somme, rien n'était perdu. La vie était faite de hauts et de bas. Les impressions étaient passagères. Il s'agissait seulement d'effacer la mauvaise impression, de la remplacer par une bonne, de reconquérir son estime.

Pourquoi arrive-t-il même aux imberbes d'être de mauvais poil ?

Même quand on ne fait qu'y vivre, il n'arrive jamais rien d'autre avec la nuit que ce qui meurt en soi.

Je ne veux ni ne rejette rien absolument, mais je consulte toujours les circonstances.

L'avenir, fantôme aux mains vides, qui promet tout et qui n'a rien !

Le paradoxe de l'artiste, c'est donner le meilleur de soi-même tout en croyant ne rien savoir faire.

Quand on joue, toute critique est prise comme une attaque personnelle. Ça vous affecte. Tous les boulots ont leur mauvais côté.

Se faire tuer ne prouve rien ; sinon qu'on n'est pas le plus fort.

Mais si je ne suis pas satisfait, je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour protéger mon pays. Et s'il le faut, je m'en prendrai à toi, à ta petite copine, et à toutes les personnes à qui tu tiens. Rien ne m'arrêtera. Rien.

En temps de guerre, la mort et le symbole triomphent des sentiments.

Quand on a de la viande on déteste le gras, quand on n'a rien on mangerait même la peau.