Citation de William Shakespeare sur Calomnie et Succession

La vie est une succession de changements naturels. Ne résistez pas car cela ne générera que des soucis. Laissez la réalité être la réalité. Laissez faire naturellement les choses.

Bien que tout vice verse dans le coeur humain le poison de l'adversaire, c'est l'envie qui permet au serpent de cracher son venin le plus secret et de vomir la peste de sa méchanceté pour la faire partager.

La calomnie vit héréditairement et s'établit pour toujours dans le lieu dont elle a une fois pris possession.

L'histoire est une longue succession d'idées folles.

Prévenir la trahison, débusquer le faux ami, le jaloux parent, le traître avant qu'il inocule son venin est une opération aussi complexe que de nettoyer l'anus d'une hyène.

Je vise en ce moment la propriété capitaliste telle que nous l'avons toujours et constamment définie et pense que nous pourrions envisager dès à présent l'interdiction absolue de toute succession en ligne collatérale. Dans une succession, excepté la ligne descendante [...] ► Lire la suite

La calomnie est l'arme préférée de l'impuissant.

L'innocence ne temporise point, quand elle peut terrasser la calomnie ; l'imposture, au contraire, cherche toujours les subterfuges.

Le venin insidieux du passé se mêle au présent et l'empoisonne.

La calomnie irrite les hommes et ne les corrige pas.

Un accusé est cuit quand son avocat n'est pas cru.

Le venin qui se cache sous le masque de l'amitié est cent fois plus à craindre.

Comme on dit ordinairement : " Va ! calomnie hardiment, il en reste toujours quelque chose ... "

On ne se rencontre qu'en se heurtant et chacun portant dans ses mains ses entrailles déchirées accuse l'autre qui ramasse les siennes.

L'idiot se marie à crédit, et accuse sa jeune épouse de lui porter malchance.

La calomnie se perpétue comme par succession.

Je ne sais pas, en vérité, pourquoi l'homme tient tant à la vie. Que trouve-t-il donc de si agréable dans cette insipide succession des nuits et des jours, de l'hiver et du printemps ?

Il y a trois sortes de tyrans. Les uns règnent par l'élection du peuple, les autres par la force des armes, les derniers par succession de race.

Quand tourne le vent on accuse les girouettes.

Et si je poussais une longue plainte déchirante pudiquement cachée sous la morsure cinglante de mon humour ravageur ?

La quantité de venin que ce reptile peut inoculer par une seule morsure peut être gargantuesque. C'est un mot que j'adore « gargantuesque », on a rarement l'occasion de le placer dans une conversation...

Tout semble si simple quand on prend les livres comme une succession d'épisodes, et non comme des objets finis, fermés sur eux-mêmes.

Plus une calomnie est difficile à croire, plus pour la retenir les sots ont de mémoire.

Nous nous plaignons de la calomnie et nous avons tort. Elle sert à nous défendre de choses qui sont fausses et d'autres qui sont vraies.

Quand une fois la calomnie est entrée dans l'esprit d'un roi, elle est comme la goutte chez un prélat : elle n'en déloge plus.

Les gens adoptent inconsciemment une attitude appropriée aux circonstances. Ainsi la même personne observée dans différents milieux offrirait une succession d'êtres n'ayant presque rien de commun avec eux.

Cette puissance magique du langage, qui consiste à se substituer à la réalité en faisant exister ce qu'elle nomme, est également le fondement de toute calomnie comme de toute flatterie.

Il y a seulement deux sexes, leur rencontre est nécessaire pour procréer et la procréation entraîne une succession de générations dont l'ordre naturel ne peut pas être inversé.

Dès que la calomnie s'est logée quelque part, elle s'y fixe à jamais.

Rien n'est plus difficile à supporter qu'une succession de bonnes journées.