Réplique Riverdale sur Fin, Idée et Très

Il n'existe que des contes de fées sanglants. Tout conte de fées est issu des profondeurs du sang et de la peur.

Ce qu'il y a de merveilleux dans le roman, c'est qu'on peut y parler de soi tout en ayant l'air de parler des autres.

Si l'homme pensait davantage à la fin du moi, ses fins de mois lui paraîtrait bien dérisoires.

Le plus savant est celui qui voit la fin de chaque chose.

Je n'aimais pas les contes de fées quand j'étais plus jeune. J'ai trouvé beaucoup de contes de fées effrayants.

Comme le bonheur du peuple est la seule fin du gouvernement, de même le consentement du peuple en est le seul fondement.

L'écriture est une aventure. Au début c'est un jeu, puis c'est une amante, ensuite c'est un maître et ça devient un tyran.

La grossesse était probablement la meilleure et la plus difficile chose que je puisse vivre. Je sais que pour beaucoup de femmes, cela peut être merveilleux et relativement facile.

C'est là en effet un des grands et merveilleux caractères des beaux livres que pour l'auteur ils pourraient s'appeler "Conclusions" et pour le lecteur "Incitations".

- Pourquoi avoir été aussi agressive avec moi depuis le début ? - Mais enfin, vous n'avez jamais compris que je vous aimais ?

Le souvenir c'est la présence dans l'absence, c'est la parole dans le silence, le retour sans fin d'un bonheur passé, auquel le coeur donne l'immortalité.

Consacrez 5 minutes au début de chaque journée à vous souvenir que nous voulons tous les mêmes choses (être heureux et être aimés) et que nous sommes tous connectés les uns aux autres.

La fin matérielle de toute activité humaine est la consommation.

Le maintien de la civilisation offre la possibilité d'obtenir de chaque nouvelle génération une nouvelle transformation des penchants, condition d'une civilisation meilleure.

En fin de compte, nous sommes nos choix.

Y a des ciels, y a des soirs, des étoiles qui nous donnent l'espoir
Des matins, y a des roses, y a des bleus qui recouvrent le noir
Comme un début d'histoire
Je veux la mer, le soleil, des photos pour nous éblouir
Je veux pleurer pour un rien, espérer
Attendre et courir
Donner sans réfléchir.

Les hommes les plus réussis à la fin sont ceux dont le succès est le résultat d'une accélération constante.

Plaisirs physiques et douleurs physiques. D'abord et surtout les plaisirs sexuels, mais aussi celui de manger et de boire, de rester nu dans un bain chaud, de gratter un endroit qui démange, d'éternuer et de péter, de passer une heure [...] ► Lire la suite

Pour l'homme qui pense, la mort n'est pas une fin mais un commencement.

Les choses que nous perdons ont un moyen de nous revenir en fin de compte.

- C'est vraiment la fin du monde alors ?

- Oui.

- On devrait s'étendre et se mettre un sac en papier sur la tête, ça aidera un peu ?

- Non pas du tout.

L'amour est comme un grand livre : si on tourne les pages trop vite, on arrive à la fin sans rien avoir compris !

Economisez un peu chaque mois et à la fin de l'année vous serez surpris du peu que vous avez.

La fin du XIXe siècle, remarque Jacques Le Rider, se caractérise par une recrudescence des ouvrages diffamatoires pour le sexe féminin. Après les philosophes, ce sont les psychologues et les biologistes ainsi que les historiens et les anthropologues qui font preuve d'un antiféminisme extrêmement violent.

Ca parait dur de commencer une journée de travail par un froid pareil. Mais il n'y a que le début qui compte. Le tout, c'est de l'enjamber.

Il y a une fausse modestie, qui est vanité ; une fausse gloire, qui est la légèreté ; une fausse grandeur, qui est bassesse; une fausse vertu, qui est l'hypocrisie, et une fausse sagesse, qui est la pruderie.

Plus la poésie est vraie, plus elle est fausse ; et les amoureux sont fort adonnés à la poésie ; et ce qu'ils jurent en poésie, en tant qu'amoureux, c'est, on peut bien le dire, fausseté pure.

Le début de l'absence est comme la fin de la vie.

En fin de compte, ce ne sont pas les années de votre vie qui comptent. C'est la vie dans vos années.

L'affirmation de la vie ne va pas sans la pensée de la mort, sans l'attention la plus vigilante, responsable, voire assiégée, obsédée de cette fin qui n'arrive pas à arriver.