Réplique The walking dead sur Vivre, Douleur et Juste

La douleur et l'espoir, la dignité et la résignation, je crois que ces contradictions vivent en chacun de nous.

Un seul enfant, enfant de douleur ; deux enfants, deux camarades.

Déterminé à vivre en parfait honnête homme, je m'applique à tourner la loi, partant à éviter ses griffes.

Nous n'apprendrons pas à vivre ensemble en paix en tuant les enfants des uns et des autres.

Les gens ont encore plus peur de la mort que de la douleur. C'est étrange qu'ils craignent la mort. La vie fait bien plus mal que la mort. Au moment de la mort, la douleur est terminée.

Dieu ne nous laisse pas vivre n'importe où, n'importe comment sur terre, sans placer une parcelle du Ciel à porter notre main.

La vraie puissance est dans la capacité d'une communauté humaine à se contenter de peu mais à produire de la joie.

On apprend à vivre du moment que l'on sait qu'au bout de la vie il y a la mort solitaire.

Ce qui me ravit aujourd'hui, c'est le bonheur d'avoir traversé toutes les souffrances pour mieux vivre ce que je vis maintenant.

Je crois qu'on ne peut mieux vivre qu'en cherchant à devenir meilleur, ni plus agréablement qu'en ayant la pleine conscience de son amélioration.

L'invariabilité dans le milieu est ce qui constitue la vertu.

Et ce chaume croulant, au milieu des belles tuiles vernies, c'est encore un autre mendiant, un autre homme libre.

Je peux vivre avec mes propres erreurs. Je ne peux pas vivre avec quelqu'un d'autre.

Je fais un effort réel pour essayer de vivre dans le monde réel et pas seulement dans le monde des rêves.

Le grand malheur des passions n'est pas dans le tourment qu'elles causent, mais dans les fautes qu'elles font commettre. Les passions font vivre l'homme, la sagesse le fait seulement durer.

J'ai réalisé que c'était seulement moi qui m'empêchais de vivre ma vie.

La famille est un milieu où le minimum de plaisir avec le maximum de gêne font ménage ensemble.

La longue habitude de vivre ne nous prédispose pas à mourir.

Je peux joyeusement endurer une douleur et savourer sans joie le bouquet d'un vin.

Personne ne se connaît vraiment soi-même, et il faut devoir vivre une situation extrême pour s'en apercevoir.

Il est impossible de vivre sans ne jamais échouer, sauf si tu fais tellement attention, que tu ne vis pas du tout. Dans ce cas, tu échoues par défaut.

Et il en est peut-être là de son instant où vivre est errer seul vivant au fond d'un instant sans bornes, où la lumière ne varie pas et où les épaves se ressemblent.

Quiconque se met à vivre avec des raisons, c'est qu'il est mûr pour la péripétie.

Des ivrognes commencent des chants qu'ils ne peuvent poursuivre et s'éteignent au milieu des quolibets. Puis les porteurs ragaillardis par les verres d'anisette se glissent de nouveau sous les pièces montées, et titubant sous le faix, semblent communiquer un peu de leur ébriété aux Vierges vacillantes et aux Christs douloureux.

Le théâtre imagine pour le spectateur, et lui fait vivre les produits de cette imagination.

Est ce que vous l'avez dit ? « Je t'aime », est ce que vous l'avez dit ? « Je ne veux jamais vivre sans toi... Tu as changé ma vie... » Est ce que vous l'avez dit ? Faire des projets, se fixer un but et [...] ► Lire la suite

Il faut vivre puis il faut mourir, le reste est à notre choix.

À peine éblouie par sa gloire, sachant qu'elle lui a tout donné: courage, force, génie, respect de l'ordre et sens du devoir, elle s'efface et reste seule à ne pas perdre la tête au milieu de l'éblouissement du miracle impérial.

Les muets devraient vivre bien plus longtemps que les autres, ils n'égarent pas le médecin dans son diagnostic.

À mon avis, lorsque l'on est confronté à des choix, que ce soit en acte ou en pensée, gardons à l'esprit que nous sommes mortels et tâchons de vivre de manière à ce que personne n'ait à se réjouir de notre mort.