Citation de Colin Powell sur Travail, Gens et Sérieux

Selon mon expérience, on ne peut, sous quelque forme que ce soit, dépendre des relations humaines pour obtenir une récompense durable. C'est seulement un travail qui satisfait vraiment.

On demandera le travail à celui qui a reçu le salaire.

Le fanatisme est un monstre mille fois plus dangereux que l'athéisme philosophique.

D'autres ne s'écoutent pas parler : eux ne se voient pas écrire.

J'entreprends ce voyage pour être loin de l'hideuse face humaine !
Enfin, pouvoir durant 15 jours se recueillir sur la face grave de l'océan! Son visage attristé est le mien. Ce flot horrible qui déferle, mon amertume. Moi aussi j'ai mes abîmes.

Je crois en l'innovation et que la façon d'obtenir l'innovation est de financer la recherche et d'apprendre les faits de base.

Les hommes qui ne s'occupent que de l'opinion que les autres ont d'eux sont comme des acteurs qui jouent un mauvais jeu pour gagner les applaudissements des gens de mauvais goût ; certains d'entre eux seraient capables de bien jouer [...] ► Lire la suite

La majorité d'entre nous est composée de gens ordinaires, inoffensifs en temps de paix, et dangereux à la moindre crise.

Les gens pensent souvent qu'ils portent en eux un sujet de roman.

Comme une grande musique qu'on peut réécouter sans fin, les grands romans eux aussi sont faits pour des lectures répétées.

Les deux piliers de la domination masculine résident dans le contrôle social de la fécondité des femmes et dans la division du travail entre les deux sexes.

Pour le fort rien n'est plus dangereux que la pitié.

Il est moins grave de perdre que de se perdre.

Vivre, ce n'est pas sérieux ce n'est pas grave, c'est juste une aventure, presqu'un jeu. Il faut fuir la gravité des imbéciles.

J'ai entendu une blague un jour : un homme va chez le toubib, dit qu'il est déprimé, la vie lui parait dure et cruelle. Il dit qu'il se sent tout seul dans un monde menaçant. Le toubib dit : « [...] ► Lire la suite

Privés d'un travail valorisant, les hommes et les femmes perdent leur raison d'être ; ils deviennent fous, furieux.

Le travail de l'art est de chasser la laideur.

Il y a des pouvoirs collectifs qui sont aussi dangereux que le pouvoir personnel.

La vieillesse n'est pas un naufrage; c'est un lent travail de rouille en cale sèche. Jamais je ne finirai comme ça. Dès que je ne me sentirai plus en état de naviguer, je me saborderai.

L'amitié, ce n'est pas d'être avec ses amis quand ils ont raison, c'est d'être avec eux même quand ils ont tort.

L'humanité se prend beaucoup trop au sérieux ; c'est le péché originel du monde. Si les hommes des cavernes avaient su rire, l'Histoire serait bien différente.

Lorsqu'un gouvernement dépend des banquiers pour l'argent, ce sont eux et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation.

Le travail c'est la santé ; ne rien faire, c'est la conserver.

Le monde appartient à ceux qui partent à sa conquête armés de confiance en eux et de bonne humeur.

Les mots n'existent pas seuls ; derrière eux se cachent une idée, un sentiment, un je ne sais quoi qui les meuvent...

Un travail opiniâtre vient à bout de tout.

La paresse ne peut se passer de travail ; on se repose voluptueusement que si l'on a pu se fatiguer.

Ce ne sont pas par ses discours et ses gesticulations, mais par le silence et le sérieux que le sage se distingue dans une assemblée.

La première chose que l'indigène apprend, c'est à rester à sa place, à ne pas dépasser les limites; c'est pourquoi les rêves de l'indigène sont des rêves musculaires, des rêves d'action, des rêves agressifs. Je rêve que je saute, que [...] ► Lire la suite

Le rêve, à ce qu'il me paraît, est une défense et notre sauvegarde contre la routine et la banalité de l'existence, les libres vacances de l'imagination enchaînée, où elle s'amuse à mettre sens dessus dessous toutes les façons de la vie et à couper d'un jeu d'enfant joyeusement folâtre le perpétuel sérieux affairé de l'adulte.