Citation de Dominique Lévy-Chédeville sur Amour, Chose et Séparation

C'est la passion qui fait vivre l'homme ; la sagesse ne le fait que durer.

Ce qui me fait plaisir, c'est que j'acquiers de la raison, sans perdre l'émotion excitée par le beau. Je désire bien ne pas me faire illusion, mais il me semble que je travaille plus tranquillement qu'autrefois, et j'ai le même amour pour mon travail.

En amour comme en autre chose, il faut se soumettre. La passion du coeur, c'est une chose que tu peux conduire mais que tu ne peux empêcher d'être, à certains moments.

Je ne peux imaginer la vie
Sans ta présence auprès de moi,
Sans la tendresse de tes paroles
Et la douceur de tes doigts.

Je ne peux imaginer la vie,
Sans ton sourire pour illuminer mes jours,
Sans ton amour pour réchauffer mes nuits.

Je ne peux imaginer le vie sans toi,
Car mon bonheur, c'est à toi que je le dois.

Je t'aime...

Le sexisme comme le racisme commence par la généralisation. C'est-à-dire la bêtise.

A mesure que j'avançais en âge, mon « hugolâtrie » grandissait, et chaque nouvelle oeuvre du poète, attendue avec impatience, était dévorée dès son apparition. Si j'entendais autour de moi grincer d'irritantes critiques, je me réconfortais en causant avec Berlioz, qui voulait bien m'honorer de son amitié et dont l'admiration pour Hugo égalait la mienne.

Les mauvais écrivains croient que le divorce des mots n'est pas permis.

La fatigue de la passion n'est pas la même que celle de l'ennui, la première est votre ange gardien et la seconde une plaie.

À quelle moment commence la dissipation d'énergie ?

On dit que le premier amour est toujours le dernier il est clair qu'il ne serait pas devenu ce qu'il a été s'il ne l'avait pas croisée...

Tu as transformé ma vie grise et terne en quelque chose de coloré, de magnifique. Ce que je ressens pour toi est plus grand que tout ce que j'ai pu ressentir jusqu'à présent ... Je voulais que tu saches que je suis profondément amoureux de toi.

Il n'y a pas d'autre amour que celui qui consiste à donner sa vie pour ceux qu'on aime.

Un amour ordinaire est la plus faible de toutes les passions. L'espérance du plaisir le soutient, son approche l'affaiblit, son arrivée l'anéantit absolument.

L'hiver qui s'apprête a commencé à neiger sur ma tête.

La passion est sourde et muette de naissance.

La liberté des uns s'arrête où commence celle des autres.

Dès que l'on commence à épier son corps, le vieillissement a commencé.

Le sens moral est plus important que l'intelligence. Quand il disparaît d'une nation, toute la structure sociale commence à s'ébranler.

Un amour sans jalousie n'est pas un amour personnel - un amour direct, plutôt un amour indirect - on peut dire que c'est un amour de raison - car ici on n'aime pas, comme personne, mais plutôt comme membre de l'humanité - On aime davantage les rivaux que l'objet.

L'homme n'est pas une entité indépendante, mais un processus de construction directement inséré dans le flux temporel de son époque.

C'est souvent quand le rideau tombe qu'on commence à se poser les vrais questions sur la personne qu'on aimerait être sur celle qu'on aurait pu être ou sur celle que nous voudrions être.

Ne vous figurez pas que ce qui plaît à Philippe, plaise également à ses sujets. Lui ne respire que la gloire ; il la cherche à travers tous les travaux et tous les périls, préférant aux douceurs d'une vie sûre [...] ► Lire la suite

Selon l'anthropologue Jean-Pierre Digard, cet amour croissant pour quelques bébêtes que l'on cajole est le pendant nécessaire des cruautés que l'on fait subir à toutes les autres. Une manière de nous racheter, en somme.

Tout le monde commence fort. Le succès vient à ceux qui ont un engagement inébranlable à être à la fin.

C'est drôle comme on réagit bizarrement, quand on commence à tenir à quelqu'un.

Le théâtre est la passion de la pensée dans l'espace.

Une amitié fondée sur le travail est préférable à un travail fondé sur l'amitié.

Vous pensez que le grand amour est la seule chose qui peut vous briser le coeur, la seule chose qui va envahir votre coeur et l'illuminer... ou le détruire. Et puis... vous devenez mère.

Une opinion commence à me gêner dès que j'y puis trouver avantage.

Rien ne contribue plus à l'attachement mutuel que la faculté du divorce : un mari et une femme sont portés à soutenir patiemment les peines domestiques, sachant qu'ils sont maîtres de les faire finir.