Quand je me regarde dans le miroir, je ne vois pas mon père, je vois ma grand-mère. Pendant un moment, ce fut ma mère qui me regarda. Si seulement c'était mon père.
Cette phrase possède 34 mots. Elle est considérée comme 1 citation longue.
Le mystère de l'incarnation se répète en chaque femme ; tout enfant qui naît est un Dieu qui se fait homme.
Le corps de la femme sait rêver. En quoi nous, hommes, sommes inférieurs.
Donner une éducation à un enfant est de loin l'un des investissements les plus importants que nous puissions faire.
J'ai réfléchi à ce que tu m'avais dit l'autre jour, à propos de ma peinture ; j'ai passé la moitié de la nuit à y réfléchir. Et puis j'ai eu un flash. Après je me suis paisiblement endormi, et depuis je [...] ► Lire la suite
L'oiseau du ColoradoMange du miel et des gâteauxDu chocolat et des mandarinesDes dragées des nougatinesDes framboises des roudoudousDe la glace et du caramel mou.
Je suis féministe. Je suis une femme depuis longtemps maintenant. Ce serait stupide de ne pas être de mon côté.
On ne peut pas nuire à un enfant en l'aimant.
En vérité, le relativisme sexuel comme principe politique est un leurre. Hommes et femmes ne constituent pas deux blocs séparés. D'une part, on ne vote pas en fonction de son sexe, mais de ses intérêts et de son idéologie. D'autre [...] ► Lire la suite
Le temps des amants est du temps perdu quand l'homme s'acharne sur le corps d'une femme qu'il a fini de découvrir.
L'exercice des droits naturels de la femme n'a de bornes que la tyrannie perpétuelle que l'homme lui oppose.
Seuls l'homme et la femme qui peuvent se rejoindre au-dessus de toute sexualité sont forts.
S'il faut prendre garde à ne pas tuer ou endommager la sensibilité d'un enfant et son intelligence par une éducation trop rigide, il faut cependant lui fournir une armature qui pourra le maintenir debout et lui permettre d'utiliser sa sensibilité.
Si Dieu était une femme ? J'essaierai d'éviter de la séduire !
Une montée sablonneuse sous les pas d'un vieillard : telle est une femme bavarde pour un homme tranquille.
Je suis juste une femme normale avec des préoccupations normales.
Que ferait la femme sans l'homme ?Elle dresserait un autre animal.
Chez nous c'est moi le patron, ma femme est seulement celle qui prend les décisions.
On aime une femme pour ce qu'elle n'est pas ; on la quitte pour ce qu'elle est.
Le langage du chagrin maternel est profond et le secret en est indéchiffrable.
Ça m'a pris au moins deux ans avant de m'en remettre. Je m'en suis remis en regardant la situation différemment. Au lieu de me dire : "J'ai perdu ma mère", je me suis dit "Quelle chance j'ai eu d'avoir cette femme formidable dans ma vie !
Jamais homme sage et discret ne révèle à femme son secret.
La femme délie sa ceinture et l'homme denoue sa cravate.
- Moi je l'aime. Il est gentil. - Mais il fout la pétoche. - ... Comme le Père Noël !
Ne dites jamais à une femme que vous allez lui faire subir les derniers outrages. Vous n'avez pas le droit de l'empêcher de croire en l'avenir.
Le drame réel et insoutenable est que la femme épouse l'homme en espérant qu'il va changer, et il ne change pas, alors que l'homme épouse la femme en espérant qu'elle ne changera pas, et elle change.
Je n'analyse jamais pourquoi j'étais avec une femme plutôt qu'avec une autre.
La femme tout entière est modelée et préparée de loin pour cet auguste office de la maternité, qui est le but suprême de sa vie terrestre.
Je ne suis pas un homme qui regarde constamment en arrière. Mais pour moi, ma femme et mes enfants sont des repères absolus dans ma vie.
La femme : un être qui s'habille, babille et se déshabille.
Une femme n'est jamais autant grisée de bonheur que lorsqu'elle découvre le désir dans le regard d'un homme.