Citation de Patrick Swayze sur Vie, Lumière et Avenir

Je ne suis ni un homme, ni un poète, ni une feuille, mais un pouls blessé qui pressent l'au-delà.

Il y aura en tout temps et dans tous les pays, surtout si ces pays sont divisés de religion, des fanatiques qui ne demanderont pas mieux que de se faire martyrs.

Avec le rond d'un simple oui, nous achetons la vie éternelle.

Je serai heureuse dans la foule si je pouvais regarder tout le monde et que personne ne me regarde.

On ne trompe pas l'impuissance : c'est elle qui ment en tendant une main incapable de recevoir.

Penserions-nous beaucoup et penserions-nous bien si nous ne pensions pas pour ainsi dire avec d'autres.

Le bien perd. Le bien perd toujours car le bien doit jouer franc jeu. Le mal ne le fait pas.

La vie n'est-elle pas un sauve-qui-peut ?

Lorsque vous faites usage de la force, il est une chose à ne jamais faire : perdre.

Parfois, on croit perdre quelque chose et, en fait, on ne sait pas qu'on est en train de gagner infiniment plus...

Le court-métrage est au cinéma ce qu'est l'amidon au col de chemise. C'est pour le durcir et non pour le ramollir.

Je ne crois absolument pas à l'autorité imposée par une hiérarchie...

On voit qu'un ami est sûr quand notre situation ne l'est pas.

Rien ne développe l'intelligence comme les voyages.

Jamais je n'ai cessé, même aux jours de succès près de l'institutrice, de ressentir au fond de moi cette seconde rupture du lien ombilical, cet exil intérieur qui ne rapprochait plus l'écolier de sa mère que pour les arracher, chaque [...] ► Lire la suite

Dans le silence des rues et du black-out qui tombait en hiver vers cinq heures du soir et pendant lequel la moindre lumière aux fenêtres était interdite, cette ville semblait absente à elle-même.

Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir comme Premier ministre pour maintenir le navire à flot au cours des semaines et mois prochains mais il ne serait pas juste que je sois le capitaine conduisant le pays vers sa prochaine destination.

Ta lettre m'a rempli d'une émotion mélancolique dont je te saurai toujours gré. Car ma vie tout entière m'y était donnée en une sorte d'éblouissement. Et rien n'est aussi exaltant pour une créature que de sentir en soi tout son destin.

Lorsque nous pensons avoir été blessés par quelqu'un dans le passé, nous construisons des défenses pour nous protéger contre les blessures futures. Ainsi, le passé effrayant provoque un futur effrayant et le passé et le futur ne le deviennent plus.

La transcendance ne se manifeste pas quand nous dépassons le niveau humain mais précisément là où nous reconnaissons ce niveau humain, lorsque nous reconnaissons notre faiblesse.

Il semble que les têtes des plus grands hommes s'étrécissent lorsqu'elles sont assemblées, et que là où il y a plus de sages, il y ait moins de sagesse : les grands corps s'attachent toujours si fort aux minuties, que l'essentiel ne va jamais qu'après.

Le plus grand magicien serait celui qui pourrait si bien s'ensorceler lui-même que ses ensorcellements lui apparaîtraient en même temps comme des apparitions étrangères, douées d'une puissance propre - Ne pourrait-il en aller de même avec nous ?

Un sujet normal est essentiellement quelqu'un qui se met dans la position de ne pas prendre au sérieux la plus grande part de son discours intérieur.

La psychanalyse s'adresse à une théorie du sujet, alors que le biologiste ne peut qu'établir une théorie des conditions d'existence du sujet, de son évolution etc...

Comme elles n'ont pas de tête, les femmes ne peuvent pas la perdre.

On ne peut pas vivre mal, c'est une contradiction.

Nous ne louons d'ordinaire de bon coeur que ceux que nous admirons.

- Hanna qu'est-ce qui ne va pas ?

- Demande moi plutôt ce qui va si tu veux une réponse courte.

Malheureusement, quand quelqu'un me demande une faveur, je ne peux pas dire non.

Pleurer ne les fera pas revenir. Dire que tu t'en fiches ne t'empêchera pas d'y penser et tout prendre sur tes épaules ne te rendra pas plus fort.