Citation de Pierre Delanoë sur Espoir, Corps et Mes

Vous vous souvenez de votre enfance à l'époque ou vous croyiez aux contes de fée ?

Vous faisiez des rêves sur ce que serait votre vie : la robe blanche, le prince charmant qui vous emporte jusqu'à son château sur la colline... [...] ► Lire la suite

Une femme n'est jamais autant grisée de bonheur que lorsqu'elle découvre le désir dans le regard d'un homme.

La tâche que l'on donne aux parents, c'est précisément de prendre possession du corps des enfants, de le recouvrir, d'y veiller d'une manière si continue qu'ils ne puissent jamais se masturber. Or, non seulement jamais aucun parent n'a empêché ses [...] ► Lire la suite

On ne doit juger d'hommes et de vins sans les éprouver, soir et matin.

Je n'ai jamais trop aimé les femmes qui tiennent leur sexe autour du cou comme des babioles. Je pense que cela devrait être découvert. C'est plus intéressant de découvrir le sexe chez une femme que de l'avoir jeté sur vous, comme une Marilyn Monroe ou ces types-là. Pour moi, elles sont plutôt vulgaires et évidentes.

Aucun désir n'est coupable, il y a faute uniquement dans leur refoulement.

Pourquoi la vie si vers la mort, tu te destines avec ton corps ? Pourquoi l'esprit, si toute ta vie... n'est que routine qui t'envahie ?

Le coeur donne la direction ; le cerveau la solution et le corps la concrétisation.

Le corps est un des noms de l'âme, et non pas le plus indécent.

Parfois, je ne peux que gémir, souffrir et vider mon désespoir au piano.

On peut rester dix ans célibataire dans un mariage. On peut parler des heures sans dire un mot. On peut coucher avec la terre entière et rester vierge.

Si de boire le soir te fais mal, Rebois le matin et tu seras guéri.

Plus que la faim, la soif, le chômage, la souffrance d'amour, le désespoir de la défaite, le pire de tout, c'est de sentir que personne, mais absolument personne en ce monde, ne s'intéresse à nous.

Le désir est le feu que nous apportons en naissant.

Respecte ton corps quand il demande une pause. Respecte ton esprit quand il cherche du repos. Fais-toi honneur quand tu as besoin d'un moment pour toi.

Maintenant les élections sont passées. Je n'ai pas de haine, pas de rancoeur ni de rancune. Je positive. J'espère que les gens qui ont un espoir de changement vont le trouver.

Passé quarante ans, tout le monde ressemble à une ville bombardée. Il tombe amoureux quand elle éclate de rire - au désir s'ajoute une promesse de bonheur, une utopie de tranquillités emboîtées -, il suffira qu'elle tourne la tête vers lui et se laisse embrasser, et il accèdera à un monde différent.

Une petite ville est l'endroit où, si vous voyez, au restaurant, une jeune fille dîner avec un homme assez vieux pour être son père, il est son père.

Nous vivons une époque révolutionnaire. La bonne nouvelle est que nous avons tout ce dont nous avons besoin pour laisser les combustibles fossiles dans le sol. Tout ce dont nous avons besoin, c'est que vous rejoigniez le reste du monde pour créer un avenir plus propre, plus stable et plus pacifique.

Il est pourtant des choses du temps jadis qui te manquent, même si tu n'as aucun désir de voir revenir ces jours anciens.

Un grand nombre de physiciens et de chimistes étrangers s'occupent dans ce moment de recherches sur la fixation de l'air dans les corps et sur les émanations élastiques qui s'en dégagent, soit pendant les combinaisons, soit par la décomposition et [...] ► Lire la suite

La conscience est à l'âme ce que l'instinct est au corps ; qui la suit obéit à la nature et ne craint point de s'égarer.

Les hommes sensibles préfèrent sortir le soir au matin, la nuit au jour, et la beauté des femmes mûres à celle des jeunes filles.

Je ne sens plus rien, l'amour, l'ardent amour a tout dévoré; il a réuni en un seul point toutes les parties sensibles de mon être, et il y a placé ton image en mon coeur : c'est là le temple [...] ► Lire la suite

Baisons, trinquons, allons nous promener, donnons-nous la main, attrape-moi par le cou et laisse-moi te courir si tu veux mais... Ne tombons pas amoureux.

Toi qui lis ce bouquin, j'écris le désir de la vie. Écrire à toutes pompes. Comme un fou. Ne pas savoir où aller. Se perdre. Me réfugier.

Je sais calculer le mouvement des corps pesants, mais pas la folie des foules.

Le désir c'est une énergie, et l'énergie c'est du désir.

Je pense trop. Être dans mon corps est beaucoup plus satisfaisant que d'être dans ma tête.

Je n'appartiens à personne ; quand la pensée veut être libre, le corps doit l'être aussi.