Citation de Caspar David Friedrich sur Rien, Lui et Doit

- [Vêtue en homme et embrassant William] Je ne sais pas bien dévêtir un homme...

- C'est nouveau pour moi aussi.

Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. J'ai reçu un télégramme de l'asile : « Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués. » Cela ne veut rien dire. C'était peut-être hier.

Si on pouvait voir les femmes vingt ans après, on ne les épouserait pas vingt ans avant.

J'écris parce que je ne veux pas des mots que je trouve, par soustraction.

Une lame non aiguisée finit par se rouiller.

Il importe de s'accoutumer d'abord à être mal couché ; c'est le moyen de ne plus trouver de mauvais lit.

On ne se met aisément qu'à la place de ses égaux.

Je ne crois pas au paradis et à l'enfer. Je ne sais pas si je crois en Dieu. Tout ce que je sais, c'est qu'en tant qu'individu, je ne laisserai pas cette vie être gaspillée.

Mon amour,

Depuis que je suis là
je n'arrête pas de penser à toi,
j'imagine ce que l'on aurait pu faire
si nous étions cote à cote.
Je me demande surtout si notre relation est du passé
et si oui, à qui la faute ?
J'entends encore [...] ► Lire la suite

Qui sauve son pays ne viole aucune loi.

Ce que les hommes promettent, ils le tiennent si bien qu'ils ne le lâchent jamais.

Chuck Norris n'a pas de père. On ne nique pas la mère de Chuck Norris.

Je pense que rien ne se produit sans raison. Lorsqu'on vieillit, on se rappelle ses jeunes années, on les compare avec la société actuelle, et on ne cherche pas à expliquer ce que l'on a vécu au nouvelle génération car [...] ► Lire la suite

Je n'ai pas de limites! Je ne peux pas être contenue parce que je suis le conteneur.

Les murs sont avant tout tes murs. Ils peuvent reculer devant tes pas, mais ta liberté même reste une enceinte si tu ne sors pas de toi-même.

Il y a assez de causes réelles de conflits pour ne pas les accroître en encourageant les jeunes gens à se lancer des coups de pied dans les tibias au milieu de rugissements de spectateurs en furie.

Le drame est né de l'union de deux vieux désirs : le désir de danser, et celui d'entendre une histoire. La danse est devenue déclamation, et l'histoire, situation.

Quand je suis venu dans cette ville, j'avais pour but de la détruire. Cette nuit, j'ai découvert en moi l'envie de la protéger. Comment ça a pu arriver ? Je ne suis pas un héros, Elena. Je ne fais pas le [...] ► Lire la suite

Je n'ai pas lu beaucoup, préférant ne pas m'encombrer l'esprit avec les idées des autres.

Je ne peux pas lire l'heure, les chiffres changent tout le temps.

Le bonheur ne se perçoit pas sans esprit et sans vigueur.

Il y a des nus artistiques et élégants qui ne sont pas choquants.

Les êtres ne se dérangent dans la vie que pour vous apporter des leçons, des signes ou des devoirs.

Les vaincus ont toujours tort. L'histoire ne considère que leur défaite.

Les femmes pudiques se donnent les yeux fermés, pour ne pas assister à leur chute.

Le mépris est un sentiment froid, qui ne pousse à aucun procédé violent.

On ne peut pas "poser" une question car il est dans la nature de celle-ci d'être volatile et volubile et dans son rôle de frapper et de rebondir.

Il est malheureux que les gens ne voient que les différences qui les séparent. S'ils regardaient avec plus d'amour, ils discerneraient surtout ce qu'il y a de commun entre eux, et la moitié des problèmes du monde seraient résolus.

A chacun son domaine : là où va le cheval, la pirogue ne glisse pas.

Pour être ridée, une bonne pomme ne perd pas sa bonne odeur.