Citation de Richard S. Drury sur Monde, Perfection et Pilote

Les plus belles femmes du monde sont incontestablement les Victoria'S Secret, c'est indétrônable.

L'homme n'est pas fait pour vivre longtemps : l'expérience le corrompt. Le monde n'a besoin que de jeunesse et de poètes.

Combien le train du monde me semble lassant, insipide, banal et stérile !

On est riche quand on vit sur les revenus de ses revenus.

Tout ce qui est public devrait être gratuit. L'école, les transports et les filles.

C'est dans les fins de législature, quand l'intérêt du public est tourné vers les élections, que se réussissent les mauvais coups les plus juteux.

La seule façon de traiter avec un monde non libre est de devenir tellement absolument libre que votre existence même est un acte de rébellion.

Dans le monde on plaint ceux qui tombent du faîte des honneurs, des grandeurs. Mais la grande infortune, c'est de tomber des hauteurs de l'amour.

Le monde dans lequel chacun vit dépend de la façon de le concevoir.

Il est très difficile, quand on vit dans la familiarité bourrue de la mer, de ne point regarder le vent comme quelqu'un et les rochers comme des personnages.

Le droit n'est jamais innocent de la société qui le fait naître.

Un classique est quelque chose que tout le monde voudrait avoir lu et que personne ne veut lire.

Le monde appartient aux optimistes, les pessimistes ne sont que des spectateurs.

Je ne vois pas un monde de demain différent du monde d'aujourd'hui. Il y a eu une accélération des techniques, mais je ne suis pas sûr que cette accélération continue au même rythme, il est bien possible qu'elle se ralentisse et que nous ayons vu des changements plus spectaculaires que ceux du prochain millénaire.

Un pilote qui affirme qu'il n'a jamais peur en avion est un menteur.

Vous dites que quelqu'un est coupable, tout le monde vous croit. Vous dites qu'ils sont innocents, personne ne s'en soucie.

Nous avons construit un monde où l'intelligence est la première des facultés, où la science et la technique nous tirent en avant et nous chutons, en produisant plus de misères, de famines, de maladies.

Le public veut comprendre et apprendre en un seul jour, une minute, ce que l'artiste a mis des années à comprendre.

On ne choisit pas son sujet. Voilà ce que le public et les critiques ne comprennent pas. le secret des chefs-d'oeuvre est là, dans la concordance du sujet et du tempérament de l'auteur.

Les relations humaines sont bizarres. J'veux dire, on est avec quelqu'un pendant un certain temps, on mange, on dort, on vit avec cette personne, on l'aime, on lui parle, on sort avec elle, et soudain c'est fini.

On vit comme on peut.

Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les observent sans rien faire.

On voit ce qu'on peut voir, on vit ce qu'on peut vivre : c'est déjà beaucoup, c'est de l'infini palpable, concret, inaliénable, vivre aujourd'hui, c'est déjà n'être pas mort.

On ne vit pas quand on a vingt ans, on se prépare à vivre, on apprend à aimer.

Le Québec. Vieille terre de souvenirs et rêves posés à la charnière d'un continent jeune, en perpétuelle métamorphose.

Jamais personne n'a trompé tout le monde, et jamais tout le monde n'a trompé personne.

Qui a un gros nez pense que tout le monde en parle.

Ta mère, était, à elle seule, la conscience d'un monde inconscient.

Tant qu'une seule femme sur la planète subira les effets du sexisme, la lutte des femmes sera légitime, et le féminisme nécessaire.

Les jeunes n'accomplissent pas vraiment la révolution, mais sans leur patience, leur dévotion, il n'y aurait pas de création de monde nouveau.