Proverbe Nigerien sur Eau, Poisson et Terre

Une fois qu'elle vous a ensorcelé, la mer vous tient pour toujours dans son filet à merveilles.

La dernière fois que Boris Johnson a signé un accord avec les Allemands, il est revenu avec trois canons à eau presque neufs.

J'ai compris ce jour-là, à travers ces yeux fatigués et implorants, que le regard d'un animal parle autant que celui d'un humain. Si seulement nous savions mieux lire ce qu'ils nous disent !

Garde toujours des yeux étonnés, disait-il. Vis comme si tu devais mourir dans dix secondes. Regarde le monde. Il est mille fois plus extraordinaire que tous les rêves qu'on peut fabriquer en série dans les usines. Ni réclame, ni garanties, [...] ► Lire la suite

Les animaux ont le droit d'être indifférents. Moi, je suis un animal avec quelque chose en plus, quelque chose qui change tout, qui m'ôte le droit à l'indifférence : je sais.

Il ne faut pas oublier que le plus grand homme n'est jamais qu'un animal déguisé en Dieu.

La femme est un animal à cheveux longs et à idées courtes.

Le poisson tourne en rond dans son bocal sans savoir pourquoi, l'homme fait de même dans sa vie.

A tas de blé, le rat s'y met.

On peut manger autant de steaks et de poisson que l'on veut, le corps ne peut en absorber que 70 grammes par prise. C'est la règle : quel que soit votre poids, un gramme par kilo. Les boissons protéinées sont [...] ► Lire la suite

J'espère que le fond de la mer est étanche...

Si le poisson est dans la nasse, le menu fretin s'en est échappé.

Elle était riche d'un passé tumultueux, hésitant. Elle avait la souplesse d'un animal et la liberté offerte. Elle semblait, en ces instants, une vague heureuse, épuisée, dirait Camus, qui s'abandonne sur la grève. Elle était femme des turbulences et cherchait un abri. Elle était rieuse et douloureuse à la fois, c'est-à-dire doulourieuse.

Le rat qui précède dans un abri ne se laisse pas brûler la queue.

Et les larmes des cieux, et leurs éclairs livides
La mer leur fait accueil en son sein qui palpite.
Oh, bien-aimée, ma vie à la tienne est ainsi
Liée depuis le jour premier où j'ai frémi.

Je suis comme un océan transformé en lac et qui aurait la nostalgie de ses marées, de ses vagues et de ses tempêtes.

Sardine : petit poisson sans tête qui vit dans l'huile.

Moi-même, qui suis Dieu,
Tremble et frémis de frayeur et d'émoi,
Voyant la terre et la mer dessous moi.

Il faudrait faire l'amour comme on mange du poisson : ne pas avaler les arêtes.

La mer ne se vante pas d'être salée.

La mer : une telle quantité d'eau frise le ridicule.

Les livres m'ont sauvé. Du désespoir, de la bêtise, de la lâcheté, de l'ennui. Les grand textes nous hissent au-dessus de nous-mêmes, nous élargissent aux dimensions d'une république de l'esprit. Entrer en eux, c'est comme aborder la haute mer ou décortiquer un mécanisme d'horlogerie extrêmement sophistiqué.

Il n'est scientifiquement pas prouvé que le poisson développe l'intelligence mais il stimule incontestablement l'imagination du pêcheur.

En réalité toute manipulation génétique sur un animal non humain devrait être interdite dans la mesure où nous n'avons aucun droit moral à jouer avec des individus sensibles et conscients qui n'ont aucun moyen d'approuver ce que nous leur faisons [...] ► Lire la suite

L'homme est le seul animal pour qui l'existence soit un problème qu'il doit résoudre et auquel il ne peut échapper.

La voix d'une femme aimée qui vous parle à des heures de silence et de mystère, sous le ciel étincelant et sur la mer grandiose, a sur l'âme une puissance bien pénétrante et bien souveraine.

Il ne faut pas préparer la poêle tant que le poisson est dans la mer.

Fait curieux : personne n'a jamais le mal de mer à terre.

On prétend que le cheval est une animal de luxe. Il ne s'habille pourtant qu'avec des bretelles.

La volonté de Dieu se présente à chaque instant comme une mer immense que votre coeur ne peut épuiser.